Journée eHandwierk

06.06.2018

La Chambre des Métiers a le plaisir de vous inviter à la Journée eHandwierk qui aura lieu le mercredi 6 juin 2018 à partir de 15h30 à la Chambre des Métiers, 2, Circuit de la Foire Internationale, Luxembourg-Kirchberg.
 

De la théorie à la pratique – A la découverte d’une entreprise digitale

Suivez notre parcours numérique de 45 minutes à travers une entreprise digitale et découvrez en direct tous les aspects de la numérisation :

Dématérialisation du courrier entrant et de la comptabilité

  • Établissement et signature électronique d’un contrat de vente
  • Accès à distance sur les demandes en cours, commandes, offres etc.
  • Travail collaboratif à l’aide d’outils digitaux
  • Maintenance / assistance technique à distance avec utilisation des lunettes connectées pour le diagnostic à distance
  • Indicateurs de performance

Le parcours se tiendra en français. Un collaborateur de la Chambre des Métiers accompagnera votre groupe et vous assistera si vous avez des questions de compréhension.

Petit Salon de l’Artisanat numérique

Laissez-vous inspirer par les nouvelles technologies et trouvez la réponse à toutes vos questions concernant votre projet numérique !

  • Présentation d’une table tangible, nouvel outil de travail collaboratif par le Luxembourg Institute of Science and Technology (LIST)
  • Immersion virtuelle et serious games pour apprendre les mesures de sécurité avec l’Institut de Formation sectoriel du Bâtiment (IFSB)
  • Évaluation de la maturité digitale de votre entreprise par le Service eHandwierk de la Chambre des Métiers.
  • Informations sur les aides à l’investissement et sur la nouvelle loi concernant la protection des données avec nos experts du Contact Entreprise et du Service juridique
  • Présentation par Luxinnovation et ses consultants du programme Fit4Digital
  • Co-Working Space
  • Il y aura bien-sûr des boissons et un snack !

Conférence « Artisanat 4.0. : Entre manque de main d’œuvre qualifiée et digitalisation »

  • Introduction de Xavier Bettel, Premier Ministre.
  • Discours de Jörg Mosler, artisan, speaker et auteur allemand, sur le rôle de la digitalisation dans le recrutement de main d’œuvre qualifiée.
  • Table-ronde avec des artisans luxembourgeois en cours de transformation numérique sur les défis et les opportunités de cette transition.

La conférence se tiendra en langues luxembourgeoise et allemande, avec une traduction vers le français.

Programme
15:30 – 17:45  De la théorie à la pratique – A la découverte d’une entreprise digitale 
Parcours de 45 minutes en petits groupes de 20 personnes à travers une entreprise digitale

            15:30   Départ 1er groupe

            16:00   Départ 2ème groupe

            16:30   Départ 3ème groupe

            17:00   Départ 4ème groupe

16:00 – 18:00 Petit Salon de l’Artisanat numérique
Laissez-vous inspirer par les nouvelles technologies, évaluez la maturité digitale de votre entreprise et trouvez des réponses à vos questions sur les aides à l’investissement, le programme Fit4Digital et la protection des données.
18:00 – 19:45 Conférence „Artisanat 4.0 – Entre manque de main d’œuvre qualifiée et digitalisation“

            18:00   Mot de bienvenue – Tom Oberweis, Président de la Chambre des Métiers

            18:10   Introduction – Xavier Bettel, Premier Ministre

            18:30   Keynote «La digitalisation dans le recrutement
                        de main d’oeuvre qualifiée» – Jörg Mosler

            19:00   Table-Ronde « Handwerk 4.0 »

                        Alois Annen, Annen Plus SA
                        Alain Kutten, Alain Kutten Sàrl
                        Alain Wildanger, Genista
                        Alexa Ballmann, Institut de Beauté Alexa Ballmann Sàrl

                        Moderation – Tom Hermes, Luxinnovation 

19:45 Networking cocktail

 

@Copyright: Chambre des Métiers 

Article Paperjam – « Transformation digitale et artisanat »

La numérisation engendre l’émergence de nouveaux modèles d’affaires, mais a également des implications profondes au niveau de l’organisation du travail et de la manière de travailler. L’artisanat se positionne pour saisir les opportunités qui découlent de ces évolutions.

La Cour de justice de l’UE a statué dans un arrêt1 récent que la plateforme électronique Uber, qui développe et exploite des applications mobiles de mise en contact d’utilisateurs avec des chauffeurs non professionnels, doit être considérée comme un prestataire de services dans le domaine des transports et non comme un simple intermédiaire ICT. Concrètement, dans l’UE, Uber doit donc être soumis aux mêmes réglementations que celles imposées aux taxis, qui représentent au Luxembourg une activité réglementée selon le droit d’établissement en vigueur.

Cette décision de la CJUE, bien que favorable pour le secteur des taxis, ne pourra cependant pas défaire la soi-disant «ubérisation» graduelle des marchés traditionnels: la transformation via des outils numériques (plateformes, applications, etc.) va gagner en importance et les acteurs économiques non issus de secteurs traditionnels qui gèrent ces outils risquent de devenir de nouveaux intermédiaires entre consommateurs et prestataires artisanaux de service. Chaque secteur devra désormais se positionner face à ces développements, et l’artisanat demande à ce que les mêmes standards s’appliquent tant aux activités réelles qu’aux activités virtuelles (sécurité sociale, droit du travail, droit d’établissement, sécurité & santé, fiscalité, etc.).

Par ailleurs, il est un fait que les besoins des clients ont également évolué avec l’émergence de nouvelles plateformes: ils s’attendent désormais à des services très personnalisés et interactifs, disponibles à tout moment et à coûts réduits. Cette tendance va à l’encontre du désir souvent exprimé des mêmes clients souhaitant acheter localement, notamment en vue d’éviter des chemins de transport excessifs des produits. Face à ces évolutions, les entreprises artisanales sont bien placées pour répondre aux nouvelles demandes, à condition d’adapter leurs modèles d’affaires: elles devront davantage se concentrer sur la prestation d’un service sur mesure, tout en satisfaisant un besoin d’information et de conseil à haute valeur ajoutée auprès des clients.

La numérisation n’engendre cependant pas seulement l’émergence de nouveaux modèles d’affaires. Elle a des implications profondes aussi bien au niveau de l’organisation du travail (p. ex. applications d’enregistrement des données sur chantier, géolocalisation, vente en ligne), des modes de communication (p. ex. réseaux sociaux), que de la manière de travailler (p. ex. connexion aux données professionnelles sans présence physique). Les opportunités en découlant seront considérables, que ce soit au niveau de la communication externe, de la création de nouveaux produits, de la personnalisation des services ou de l’interconnexion des données.

Pour les entreprises artisanales, il sera donc primordial de défendre à l’avenir leur position concurrentielle face à des entrants «technologiques» du marché, ayant intégré le digital dès leur création et provenant d’horizons n’ayant aucun rapport avec les activités traditionnelles. L’artisanat devra évoluer en proposant des produits et services de haute qualité sur la base de processus digitaux de production et d’organisation gagnant en souplesse et en réactivité. Sachant que l’artisanat a dans le passé toujours bien intégré les innovations technologiques, en adoptant une nouvelle «façon de penser», il a tout intérêt à augmenter sa performance et à rester compétitif par l’adoption de nouvelles stratégies, de nouveaux outils, tout en restant orienté vers l’avenir.

Pour accompagner les entreprises artisanales dans leur transformation digitale, la Chambre des métiers a mis en place le service «eHandwierk», qui vise essentiellement à offrir une guidance et une orientation concrète aux entreprises vis-à-vis des évolutions du numérique. Il ambitionne de les sensibiliser aux enjeux de la digitalisation et de les mettre en relation avec les acteurs spécialisés dans ce domaine. Le nouveau brevet de maîtrise de la Chambre des métiers2 intègre systématiquement les opportunités et les notions d’e-business, de digitalisation des processus de production et de sensibilisation générale quant aux outils et applications digitales.

Le 6 juin 2018, la Chambre des métiers organise la nouvelle édition de sa «Journée eHandwierk», l’événement phare de l’artisanat numérique au Luxembourg. À ne pas manquer!

[1] Affaire C-434/15 du 20 décembre 2017

[2] Premier nouveau brevet de maîtrise «Artisan en alimentation» en automne 2017

Pour consulter l’article complet, veuillez suivre le lien: http://paperjam.lu/news/transformation-digitale-et-artisanat?

@Copyright: Paperjam 

 

GDPR : Plus qu’un mois !

Il est temps de se préparer, dans exactement 1 mois, le GDPR, nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles entrera en application.

 

Towards a paperless office: Nothing to fear, but fear itself!

The first company in Luxembourg to achieve ILNAS certification for digital archiving services talks about helping customers plan for the death of paper.

On 1 February 2017, Labgroup became the first company in Luxembourg to achieve PSDC (Provider of Digitalisation and Conservation Services) certification from ILNAS (the Luxembourg Institute for Normalisation, Accreditation, Security and Quality of products and services).  Just over one year later, Jean Racine, Labgroup’s chief business development officer, talks about the importance of the certification and how it has impacted Labgroup’s service offering to clients. He also calms the fears of those who hesitate to go digital.

Margaret Ferns: Why was it important to get PSDC certification?

Jean Racine: Archiving has been Labgroup’s core business for 40 years and, over this time, we have invested heavily in information technology in order to help our customers plan for the (very) slow death of paper. Qualifying for PSDC certification was the logical next step. It was also essential to boost digital trust at a time when businesses are likely to outsource non-core activities (such as data archiving) in a context of a heavy regulatory burden, especially with regards personal data protection– GDPR  regulation.

MF: In what ways has it altered Labgroup’s service offering to clients?

JR: Although information security is always a major priority for us (for example, we have been an ISO 27001 certified company since 2014), there is always room for improvement. Under the act establishing the PSDC status (the Law of 25 July 2015 relating to electronic archiving), we are required to implement increased security measures. For example, traffic on internal corporate networks must now be encrypted. PSDCs are also obliged to submit complete and detailed information on infrastructure and technical installations, safety systems and procedures, applicable standards and workflow management, etc.

Labgroup has taken its role as advisor seriously by developing a specific archiving project methodology based on best management practices. As a result, interaction between parties and exchanges among persons are structured, scheduled, and accordingly more constructive, building a trusting relationship.

MF: With regards to PSDC, which sectors of activity do your clients come from?

JR: It should be noted that PSDC services (paper documents digitisation and electronic records preservation), are available not just to companies in Luxembourg but worldwide. Indeed, among our first customers, we counted several significant foreign insurance companies, which tend to be the most prolific in terms of producing records.

Locally, the first organisation to trust Labgroup as a PSDC was not a business, but the University of Luxembourg. One year after the formalisation of Labgroup’s PSDC status, however, most demand comes from the financial sector. Surprisingly, we have also seen demand from the construction sector for the digitisation and archiving of supplier invoices.

MF: Have you observed any hesitation in moving forward with digitalisation in any sectors?

JR: The current situation is rather paradoxical. Indeed, despite the fact that we are subject to the same obligations of professional secrecy as a PSF, companies managing highly confidential information have always rejected the idea of digitising their files, since that meant that the documents would leave their premises.

Today, however, we find that it is these same companies that are the first to initiate the most projects of native digitisation (without passing through the paper stage), in order be able to offer their customers all over the world the opportunity to subscribe and operate online. The fact that contracts and transaction notices are processed by a third party such as Labgroup significantly limits the risk of disclosure. Don’t forget that data encryption is very difficult to implement on paper, not so digitally.

MF: Does increasing digitalisation mean less control of data for your clients?

JR: In fact, it is just the opposite. Where a physical item can only be stored in a single place and classified according to a single criterion (e.g. name of author, title…), an electronic record may be searched and retrieved in many ways, each one corresponding to the specific needs of the user. In a similar vein, where access to paper documents requires physical movements and complicated key-based security management, the confidentiality of an electronic record can be managed through indexes/metadata, subject to instant amendment.

In general terms, thanks to digitalisation, information holders have the ability to have total control of their data with regards to its readability, intelligibility, integrity, confidentiality and availability.

@Copyright: Delano

Raiffeisen has entrusted Lab Luxembourg S.A. (Labgroup) and Numen Europe with the implementation of a digitisation and electronic archiving solution for its daily business requirements.

Raiffeisen Bank, the first cooperative bank where interests and decisions centres are based in Luxembourg, places the customer at the centre of its concerns. Raiffeisen strengthens its position within the market place by anticipating trends and modernising its range of products and services to meet the requirements of their customers.

According to Raiffeisen, digitisation offers numerous benefits. The bank decided to call upon Lab Luxembourg S.A. (Labgroup) and Numen Europe to provide modern and flexible services to its clients. Thanks to the convergence of its physical and digital channels, Raiffeisen has developed its digitisation to increase its operational efficiency.

Following a tender (issued in 2015), Raiffeisen Bank entrusted the deployment of a digitisation service and an electronic archiving solution to Labgroup, a document management specialist with more than 40 years’ experience, and to Numen Europe, an expert in confidential data extraction and document processing. Labgroup and Numen were both certified PSDC (Provider of Digitisation and Conservation Services) before being certified by ILNAS (Luxembourg Institute for Standardisation, Accreditation, Security and Quality of Products and Services).

The project aimed at optimising the management, the protection and the preservation of documents in the perspective of a “Paperless Office”, and this includes three steps:

  1. The digitisation of client files that represents, the collection of 8 million pages;
  2. The daily digitisation of paper documents concerning daily banking activities;
  3. The archiving of documents, existing electronic or digitised (contracts or operations in electronic form).

The electronic copies created by a PSDC according to the regulation have the same probative value as the original documents (which henceforth can be destroyed). Therefore, all holders of information such as Raiffeisen Bank can entrust Labgroup with their digitisation and conservation operations, in complete safety, with the guarantee of the Luxembourg State.

The combination of the skills of both companies has been a successful collaboration within and beyond Luxembourg. Thanks to this partnership, Numen Europe and Labgroup can take charge of physical and electronic documents life cycle from their collection to their certified destruction. Both also guarantee business continuity thanks to the redundancy of their tools and certifications.

The CSSF (Luxembourg Financial Services Supervisory Authority) and the ILNAS (Luxembourg Institute for Standardisation, Accreditation, Security and Quality for Products and Services) monitor Labgroup and Numen Europe as being a PSF (Professional of the Financial Sector) and PSDC (Provider of Digitisation and Conservation Services).

Labgroup and Numen are both certified ISO 9001:2015 and ISO 27001:2013, thus ensuring the highest level of confidentiality and information security to their customers.

About Labgroup

Labgroup is a Luxembourg-based company that provides information management & archiving services to a large range of organisations and institutions.

Since 1977, Labgroup has endeavoured to assist its clients in their digitisation efforts by offering adapted services and solutions for electronic data management.

 Labgroup offers the complete range of Information Lifecycle Management (ILM) solutions and services including digitising of paper documents, storing and destroying physical archives, capturing and conserving electronic archives, protecting and restoring data, preserving IT media and giving consulting services and training. Our professional services team provides advice regarding archiving policy, records management and compliance. Labgroup is an international company with business activities on five continents. Labgroup’s mission is to enable organisations to maintain compliance with legal obligations whilst enhancing the efficiency of their information management. For more information: www.labgroup.com

About Numen

As a service provider of IT solutions, hosting and dematerialisation, Numen is committed to working with their customers in their digital transformation projects, optimising customer relations and back offices, managing their documents and enhancing their cultural and sensitive contents.

With 980 experienced employees, Numen is a reliable technological partner for more than 500 clients, varying form banking, insurance, real estate, medical, publishing, distribution, culture, industry, human resources, as well as European institutions and public organisations. 

With 50 years of expertise and 16 locations in France and Europe, the company has an annual turnover in excess of 65 million euros. For further information: http://www.numen.fr/en/

Contact:

Labgroup

Cindy Reff

Marketing & Communication

Tél : +352 350 222 243 – Email : marketing@labgroup.com

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Links:

Communiqué de presse – Labgroup

Press Release – Labgroup

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Links Press:

Paperjam 

Digital Energy Soluxions

Chronicle.lu

InFinance

Merkur 

Innovation

@Copyright photo: Raiffeisen Bank

11 Countries to Participate in Luxembourg Junior Squash Open 2018

Organised by the Luxembourg Squash Federation (LSF), the 8th Luxembourg Junior Squash Open will be held at Top Squash in Sandweiler from Friday 13 to Sunday 15 April 2018.

The tournament is part of the European and World Junior Squash circuit. This year this European event has attracted 106 entries from 11 different countries in boys and girls categories from Under 13s to Under 19s. Most excitingly, one World top 30 and eight Europe Top 20 players are registered to participate.

The event is not just a tournament; it also helps in promoting squash and is an opportunity to raise donations to financially support the Luxembourg Squash Federation Junior Program 2018-2019. This Program includes 30 juniors spread over three skill levels; the most advanced of which are being introduced to and supported by the “Sport Lycee”.

Spectators are more than welcome to come and support the 21 Luxembourg players with Miguel Duarte, Raphael Magron-Lorenzo, Corey McMahon and Eliane Pereira, all top 100 Europe players.

The tournament is supported by 20 sponsors and partners. Labgroup is one of the proud sponsors of this year’s event. 

@Copyright: Chronicle.lu

World Backup Day – Protect your business with Labgroup!

Missed #WorldBackupDay on March, 31st? Don’t worry! Labgroup provides you every day all year with data protection services your company may need!

Why is everyone concerned about “backup” and “data protection”?

Because data are a valuable asset that must be protected to ensure the long-lasting success of the company. As a matter of fact, should an incident or a disaster occur, the loss of information may result in declining reputation, service interruption, a decrease in earnings or even failure. It is, therefore, crucial to safeguard the business continuity, developing and maintaining the ability to recover from an IT disaster.

This is the intent of the World Backup Day: remind us how essential it is to protect our data, keeping at least one copy of our computer files backed up in a device other than your internal storage to avoid a possible files loss.

Being a specialist for preservation of information, Labgroup provides, of course, data protection solutions to help your company to:

–      Back up your data regularly, automatically, remotely and safely.

–      Restore yourself individual files, databases and emails!

–      Recover the system files, the applications and the data in disaster recovery scenario.

–      Continue business operations using the Internet to access your servers that have been recovered in the Labgroup private cloud.

More information about our services: https://www.labgroup.com/data-protection/

Dans 60 jours le GDPR entrera en application!

Il est temps de se préparer, dans 60 jours le GDPR, nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles entrera en application. Labgroup et UBCOM proposent CyberManager une solution d’analyse d’écart basée sur les plus grands référentiels tels que ISO, COBIT 5, Sarbannes-Oxley et UBcyber… permettant d’évaluer en 5 heures seulement la maturité et la résilience d’une organisation à travers un questionnaire de 360 questions.

Comme l’a expliqué Frans Imbert-Vier, CEO, Ubcom, dans l’article : Le GDPR via Cybermanager et, par-delà, une vue de la résilience, écrit par Alain de Fooz  « Avec CyberManager, nous proposons un outil d’assessment permettant aux responsables d’entreprise d’évaluer en cinq heures -pas plus- le niveau de maturité et la résilience de leur organisation et du systèmes d’information face aux cyber-risques et aux contraintes légales du GDPR. Pour nous, le GDPR n’est pas la finalité, mais une étape majeure pour renforcer la confiance digitale, laquelle est absolument nécessaire pour générer de la croissance. CyberManager permet de fournir un schéma directeur solide -pas un label de conformité. Nous engageons l’entreprise dans un processus pragmatique de progression permanente et immédiatement opérationnel. »

Labgroup est le premier prestataire indépendant à proposer un assessment via CyberManager. « Ce règlement est un momentum, une étape positive permettant d’améliorer l’équilibre de la confidentialité et la protection des données entre les particuliers et les entreprises, ainsi que les pratiques de gestion des données et la sécurité globale pour toutes les parties concernées », analyse Jean Racine, Chief Business Development Officer, Labgroup.

CyberManager est un véritable levier d’amélioration de la sécurité de l’entreprise qui permet de renforcer sa résistance, mais qui va également accroître la confiance des clients, des actionnaires mais aussi des collaborateurs.

La prestation de Labgroup est proposée à un prix forfaitaire -6.000 euros et comprend la préparation du workshop, la réalisation avec deux consultants seniors, le rapport de synthèse et un dernier rapport de restitution.

Un nouvel arrivant dans la communauté des PSDC !

Dans le cadre de la loi du 25 juillet 2015 sur l’archivage électronique, le Luxembourg compte désormais quatre Prestataires de Services de Dématérialisation ou de Conservation (PSDC), qui ont obtenu la certification correspondante avant d’être agréé par l’ILNAS (Institut Luxembourgeois de la Normalisation, de l’Accréditation, de la Sécurité et qualité des produits et services).

En effet, en date du 26 février 2018, le SIGI (Syndicat Intercommunal de Gestion Informatique), partenaire des administrations communales et nationales, a rejoint Labgroup sur la liste officielle, en tant que PSDC de conservation.

Cela renforce la position de précurseur du Luxembourg en matière d’archivage électronique et augure bien de son développement dans le secteur administratif.

Pour rappel, le 1er février 2017, Lab Luxembourg S.A. (Labgroup) fut le premier PSDC agréé, aussi bien pour la dématérialisation que pour la conservation.

Le statut de PSDC garantit la fidélité de la digitalisation des documents papier et l’intégrité de la conservation des documents électroniques. C’est donc en toute sécurité, avec la garantie de l’État luxembourgeois, que les détenteurs d’informations de tout pays peuvent confier à un PSDC, tant leurs opérations de dématérialisation que de conservation, et bénéficier de la présomption de conformité de la preuve électronique à l’original.

 En résumé, le statut PSDC propose un niveau de sécurité inédit !

 Plus d’informations : https://portail-qualite.public.lu/fr/confiance-numerique/archivage-electronique/liste-psdc.html#.

 

 

Témoignage d’un PSDC-Labgroup lors de la visite ARTCI au Ministère de l’Économie.

Ce 19 mars, le Ministère de l’Économie – Luxembourg a eu le plaisir d’accueillir dans ses locaux deux représentants de l’Autorité de Régulation des Télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI).

Suite au vote d’une loi sur l’archivage électronique, les visiteurs venaient s’informer de la façon dont le Luxembourg a implémenté sa règlementation, ainsi que le statut de Prestataire de Services de Dématérialisation et/ou de Conservation (PSDC).

Introduit par le conseiller au Ministère de l’Économie, François Thill, le sujet a été développé par Alain Wahl, Head of Digital Trust Department de l’ILNAS (Institut Luxembourgeois de la Normalisation, de l’Accréditation, de la Sécurité et qualité des produits et services). Puis Jean Racine, Chief Business Development Officer de Labgroup, a apporté le témoignage de la première société ayant obtenu le statut de PSDC au Luxembourg.

En effet, le 1er février 2017, Lab Luxembourg S.A (Labgroup) devenait le premier PSDC certifié, aussi bien pour la dématérialisation que pour la conservation. C’est donc en toute sécurité, avec la garantie de l’État luxembourgeois, que les détenteurs d’informations de tous les pays peuvent confier à Labgroup tant leurs opérations de dématérialisation que de conservation. (Plus d’informations sur le statut PSDC en suivant le lien : https://www.labgroup.com/labgroup-dans-solutions-magazine-juillet-2017/).

La visite s’est déroulée en comité restreint ce qui a permis un vrai échange d’informations en soulignant l’importance de l’économie digitale, la sécurité de l’information, du statut PSDC et surtout les opportunités d’un partenariat entre les deux parties, autant au niveau technique que stratégique. Les discussions se sont avérées fructueuses et laissent à presager une collaboration à long terme entre ARTCI et les acteurs luxembourgeois. 

(de gauche à droite) François Thill (Conseiller au Ministère de l’Économie) – Alain Wahl (Head of Digital Trust Department, ILNAS) – Annick Hartung (Conseiller au Ministère de l’Économie) – Jean Racine (Chief Business Development Officer, Labgroup) – Akénou Gnahoua (Chef de service Contrôle et agrément des PSCo, ARTCI) – Georges Aka (Chef de département Confiance numérique, ARTCI)