Meltdown & Specter – Labgroup has taken necessary precautions

As announced in our previous article, published the 09/01/2018 on Labgroup’s website, two CPU vulnerabilities from different suppliers have been discovered recently, better known under the names Meltdown (CVE-2017-5754) and Specter (CVE-2017-5753 and CVE-2017-5715).

These vulnerabilities may affect businesses and individual users because sensitive data may be obtained. For further information on the two vulnerabilities, we invite you to follow the link to the article: https://www.labgroup.com/cpu-vulnerabilities-meltdown-and-specter/

Lab Luxembourg S.A. (Labgroup) wants to inform its clients that our technical teams have taken the necessary precautions to keep our systems as secure as possible and to mitigate potential security issues.

The software patches and firmware updates that have already been released by the different system vendors have been successfully applied to our systems and products. Furthermore, Labgroup is working closely with the system vendors to apply newly released patches as soon as they become available.

Labgroup will closely monitor the situation and will inform its clients about further actions taken by the technical teams.

If you require further information, we invite you to dial the +352 350 222 999 or to send an e-mail to servicedesk@labgroup.com.

CPU vulnerabilities – Meltdown and Specter

Recent press reports talk about two CPU vulnerabilities from different suppliers that have been discovered, better known under the names Meltdown (CVE-2017-5754) and Specter (CVE-2017-5753 and CVE-2017-5715). These vulnerabilities may affect businesses and individual users because sensitive data may be obtained, however, their impact is still unclear. In short: 1st vulnerability, called “Meltdown” applies to […]

Le papier au passé

Découvrez l’article, publié par le Lëtzebuerger Journal, le 13/12/2017

Une entreprise numérique n’est plus un mythe mais une réalité, assurent Labgroup et ses partenaires

Si nombreux sont les entrepreneurs à entendre chaque jour les mots big data, réalité virtuelle ou encore impression en 3D, beaucoup d’entre eux pensent que ces innovations ne les concernent pas ou ne s’appliquent pas à leur domaine d’activité. Hier, Labgroup et ses partenaires NG Partners et OCI ont démontré le contraire. Ils ont organisé une «expérience digitale» à destination de leurs clients et prospects qui se sont immergés dans la vie d’une entreprise où le numérique est présent partout.

«Notre objectif est de sensibiliser les entreprises à la transformation digitale qui est une véritable révolution au même titre que la Révolution industrielle» souligne Philippe Lallemand, ingénieur commercial et responsable du développement commercial d’OCI au Luxembourg.

La société informatique est spécialisée dans les systèmes, alors que NG Partners s’illustre dans la production et la numérisation de documents. Quant à Labgroup, l’entreprise luxembourgeoise est connue pour ses activités d’archivage électronique et détient le label PSDC qui donne aux copies digitales la même valeur que les originaux en papier.

«C’est une formidable opportunité
de business et de modèles économiques», ajoute Patricia Foulon. Pour la directrice commerciale des agences Luxembourg et Lorraine chez OCI, l’offre proposée par le trio se distingue par une adaptabilité à l’activité de chaque entreprise. «On va de la commercialisation à la production avec un service après-vente et une analyse des résultats», souligne-t-elle.

Plongée chez Vitaleau

Un exemple vaut mieux qu’un long discours. Hier, les participants au rendez-vous ont plongé dans la vie d’une entreprise imaginaire de production de bouchons en plastiques baptisée Vitaleau.

De la prise de commande via une tablette au suivi de celle-ci en ligne, tout le procédé commercial est dématérialisé. Quant à la production, des démonstrations de scan en 3D, de modifications sur des écrans interactifs et le recours à des lunettes connectées rendent le procédé aussi moderne que performant.

Quant au traitement des documents, un logiciel intelligent extrait les données des factures et les intègre automatiquement dans un logiciel de comptabilité. Mais la numérisation ne s’arrête pas là: des tableaux de bord interactifs sont générés pour faire le point sur la santé financière et le carnet de commande de l’entreprise, avec un affichage dynamique des flux par exemple.

«Nous voulons faire écho à la stratégie de digitalisation du Luxembourg», insiste Philippe Lallemand. Pour OCI, le rendez-vous d’hier était le premier organisé en collaboration avec NG Partners et Labgroup. La société d’origine française est actuellement en développement au Luxembourg où elle compte six salariés. Dans l’Hexagone, le groupe totalise plus de 250 salariés.

Copyright @Lëtzebuerger Journal

Auteur : Catherine Kurzawa

Partenariat entre Labgroup et Archive 17 pour la diffusion de la méthode Arcateg™ (archivage par catégorie).

Labgroup, tiers de confiance et archiveur depuis 40 ans, étant un expert dans la gouvernance de l’information qui accompagne ses clients dans leur gestion du cycle de vie des informations (Information Lifecycle Management), intègre désormais la démarche Arcateg™ dans son offre de services. C’est tout naturellement que Labgroup est devenu partenaire de Madame Marie-Anne Chabin, expert reconnu au niveau international pour l’archivage et la gestion de l’information numérique, et créatrice de la méthode Arcateg™.

Cette méthodologie originale et efficace permet d’accélérer et de consolider les règles de gestion de l’information et leur mise en œuvre. Les 100 catégories universelles du cadre de classement Arcateg™ couvrent toutes les valeurs possibles de l’information sur tous supports et facilitent ainsi l’audit et la qualification des informations à risque dans l’entreprise. Ces catégories de conservation permettent de structurer de façon rigoureuse et pérenne le pilotage du cycle de vie des documents et des données.

Avec Arcateg™, vous pouvez à la fois simplifier et renforcer la gouvernance de l’information dans au sein de l’organisation (cycle de vie des dossiers et des fichiers, sécurité des données, accès aux contenus). Vous pouvez aussi décliner l’utilisation du référentiel Arcateg™ selon divers projets spécifiques : amélioration de l’archivage physique, qualité et complétude des règles de conservation, repérage des données à caractère personnel et conformité au RGPD.

La méthode Arcateg™ complète parfaitement la panoplie des services que Labgroup proposent, et enrichit le service de consultance. Les consultants Labgroup ont été formés à la méthode et sont disponibles pour vous aider à l’utiliser pour optimiser la gestion et l’archivage de votre patrimoine informationnel.

L’ENTREPRISE DIGITALE AU COURS D’UN PARCOURS IMMERSIF ET EXEMPLATIF

Article publié par Soluxions Magazine sur l’événement Expérience Digitale Luxembourg.

PREMIÈRE AU LUXEMBOURG. LE 12 DÉCEMBRE, LABGROUP, NG PARTNERS ET OCI INFORMATIQUE PROPOSERONT DE VIVRE UNE EXPÉRIENCE UNIQUE D’UNE ENTREPRISE DIGITALE AU COURS D’UN PARCOURS IMMERSIF ET EXEMPLATIF.

L’entreprise digitale existe-t-elle ? On en parle dans les salons, les conférences, mais qui l’a visitée ? Qui peut se targuer d’y travailler ou d’y collaborer ? Le 12 décembre, Labgroup, NG Partners et OCI Informatique proposeront de la visiter en réalité augmentée, de la réception à la production, en passant par le service technique et les ventes, avant de rencontrer la direction générale !

Rendez-vous au Novotel Kirchberg. Première session à 11:30. Au total, six sessions de 45 minutes se succéderont. Concrètement, les promoteurs de cet événement ont loué quatre salles, dans lesquelles seront présentés les bénéfices de la digitalisation, de façon interactive et concrète.

AVANT TOUT ACTEUR

«L’idée consiste à faire vivre aux visiteurs l’expérience d’une entreprise digitale, autrement dit sans papier, explique Manon Hugel, Marketing & Communication, OCI Informatique. Et les faire entrer tout de suite dans la réalité, en passant par les différents services : conception, production, vente, intervention technique, mais aussi comptabilité, gestion des ressources humaines… Au total, une dizaine d’étapes à franchir.»

Au cours de ce parcours, le visiteur n’est pas seulement spectateur; il est avant tout acteur. «À l’instar d’un serious game, il est appelé à agir, ce qui signifie arrêter des choix, lancer des actions… Son expérience sera totale. En cela, cet événement est véritablement une première », estime Philippe Lallemand, Ingénier commercial, OCI Informatique.

Eric Ludaescher, Sales Manager/Consultant, NG Partners : « Dans les présentations classiques, on nous dit ce qu’il est possible de faire ; ici, on vous propose de passer à l’étape de la réalisation. On passe d’une promesse -souvent floue- à la concrétisation.»

Les visiteurs seront accueillis dans chaque atelier. Ils vivront pleinement l’expérience, souvent en découvrant de nouvelles technologies. «Dans la production, ils découvriront l’apport des lunettes connectées, illustre Jean Racine, Chief Business Development Officer, Labgroup. Ils découvriront aussi, très concrètement, l’intérêt de la dématérialisation ‘intelligente’ des factures, grâce au ‘machine learning’. Il sera encore question du GDPR, le fameux règlement européen relatif à la protection des données.»

UNE IMMERSION POUR VAINCRE LES PEURS

Avec cette immersion, l’ambition est aussi de dédramatiser l’entreprise digitale, ajoute Patricia Foulon, Directrice commerciale Lorraine & Luxembourg, OCI Informatique. «Derrière l’inconnu, il y a un formidable potentiel. Rien de tel qu’une immersion, une mise en situation accompagnée et encadrée.»

Au cours de cet événement inédit, les visiteurs découvriront les expertises des trois partenaires et les solutions développées en commun. Présent au Luxembourg depuis 2000, OCI Informatique mettra en avant plus particulièrement ses prestations en mode SaaS autour d’outils comme les ERP et le CRM, NG Partners présentera ses équipements de saisie et de reproduction, également ses solutions en GED (Gestion Électronique des Documents). Enfin, Labgroup mettra en œuvre ses compétences en archivage, en dématérialisation et en hébergement.

«L’ambition est de répondre, par l’exemple, à des questions concrètes, et cela dans tous les domaines, au cours d’une expérience globale, résume Cindy Reff, Marketing Labgroup. Comment supporter les commerciaux et améliorer le suivi client ? Comment concevoir et produire en 3D pour gagner en réactivité ? Comment intervenir à distance pour dépanner les clients ? Comment profiter des technologies de reconnaissance de documents pour éviter les saisies manuelles ? Entre décision en temps réel et début de prédictif, comment la digitalisation s’inscrit-elle dans une démarche d’efficacité ? Pas de discours, pas de promesses, du réel, du concret !»

Pour plus d’information sur cet événement et vous inscrire, veuillez consulter le site https://www.labgroup.com/event-digital-luxembourg-experience-digitale/

Copyright@Soluxions-magazine

Auteur – Alain De Fooz

Expérience digitale Luxembourg – l’entreprise numérique en réalité augmentée

Quels sont les avantages compétitifs que mon entreprise peut retirer de la transformation numérique ?
Découvrez la réalité d’une entreprise numérique, à travers un parcours immersif, présentant de façon interactive (et inédite), les bénéfices de la digitalisation.

Venez découvrir comment la digitalisation augmente l’efficience des traitements et la productivité des collaborateurs de l’entreprise.

Conception  – Production – Vente – Intervention technique – Comptabilité – Gestion RH – Décisionnel – (…)

  • Comment supporter les commerciaux et améliorer le suivi client ?
  • Comment concevoir et produire en 3D pour gagner en réactivité ?
  • Comment intervenir à distance pour dépanner les clients ?
  • Comment profiter des technologies de reconnaissance de documents pour éviter les saisies manuelles ?

Entre décisions en temps réel et début de prédictif, comment la digitalisation s’inscrit-elle dans une démarche d’efficacité ?

INSCRIVEZ-VOUS DÈS MAINTENANT À UNE SESSION D’IMMERSION POUR VIVRE L’EXPÉRIENCE DIGITALE : Visiter le site.

DATE

Mardi 12 Décembre

6 sessions de 45 minutes

 

Journée mondiale sans papier – 25 octobre 2017

Cette journée mondiale encourage les entreprises à diminuer leur consommation de papier, non seulement pour des raisons écologiques mais aussi financières. (source : Journée-mondiale.com)

À l’ère de la transformation digitale, la consommation annuelle de papier au niveau mondial s’élève encore, selon le Planetoscope, à 398 000 000 000 kg, dont seulement 35% seraient recyclés.

Quelques chiffres : 

  • Un employé de bureau consomme en moyenne 10.000 feuilles de papier/an,
  • Un document est copié en moyenne 9 à 11 fois,
  • Lorsqu’un employé quitte l’entreprise, 70% de ses connaissances partent avec lui,
  • Les grandes sociétés égarent un document toutes les 12 secondes,
  • ¾ des entreprises fermeraient leurs portes dans un délai de 3 semaines si elles devaient perdre leurs archives papier suite à incendie ou inondation

Or, avec les réglementations eIDAS (electronic identification and trust services for electronic transactions) et GDPR  (General Data Protection Regulation), l’Union Européenne a créé un cadre favorable à la digitalisation des entreprises, tout en garantissant la protection des données personnelles de ses citoyens. Luxembourg, poursuivant son objectif de devenir une « digital nation », a légiféré de façon innovante sur l’archivage électronique et institué une certification des Prestataires de Services de Dématérialisation ou de Conservation (PSDC). 

Les avantages du bureau “zéro papier” :

  • Gestion de l’espace plus efficace
  • Productivité accrue
    • Gain de temps en recherche d’informations
    • Accès plus rapide aux informations et meilleure collaboration
    • Automatisation des flux de travail
    • Travail à distance
  • Protection des informations
    • Sauvegarde des données facilitée
    • Contrôle d’accès automatisé
    • Traçabilité des mouvements documentaires
    • Horodatage des données
    • ETC.

Alors, en ce jour, actons que le futur est sans papier, et prenons la bonne résolution de s’engager sur la bonne voie, en commençant… par avoir moins de papier… et une bonne gouvernance de l’information !

En tant qu’expert de la gestion des documents et données depuis 40 ans, Labgroup vous propose de vous accompagner sur cette voie avec différents services de conseil, des formations & de la consultance, afin de :

1. Etablir votre politique de gouvernance de l’information avec nos experts en archivistique.
 
2. Digitaliser vos documents papier, c’est-à-dire convertir les informations analogiques qu’ils contiennent en données électroniques, pour produire :
  • non seulement une image, mais aussi
  • une version électronique du contenu textuel, via reconnaissance optique de caractères  ou OCR, pour la recherche plein texte, et
  • un fichier des données extraites du document grâce à la technologie de lecture automatique (LAD/RAD), pour traitement automatisé (import dans votre logiciel comptable par exemple).
  • Implémenter un système de gestion électronique des documents (GED) pour faciliter la collaboration et la partage d’information ; ainsi qu’un système d’archivage électronique pour préserver la valeur légale des documents.
3. Dématérialiser nativement, et progressivement, vos échanges et vos traitements d’information, pour ne plus avoir à passer par l’étape papier et atteindre le graal du “zéro papier”, grâce par exemple à la facturation électronique et la signature électronique.
 

Zéro papier… et gain de productivité ?
Un employé de bureau consacre 15% de son temps à chercher de l’information. Réduire ce temps perdu d’un tiers (5%) libère :

  • 24 minutes par jour de travail
  • 2 heures par semaine
  • Plus d’une journée de travail par employé et par mois !
Convaincu ? Pour plus d’information, nous vous invitons à contacter presales@labgroup.com ou par téléphone au +352 350 222 999.
 

Article Paperjam – Un intérêt marqué pour les nouveaux PSDC

Découvrez l’article Paperjam, publié le 29 septembre 2017 sur le site www.paperjam.lu, sur l’archivage électronique et les nouveaux PSDC.

La certification, cette année, des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) de documents marque les premiers effets concrets de la nouvelle loi sur l’archivage électronique, qui fait du Luxembourg un précurseur en la matière.

Longtemps perçu par les PMI et les PME comme une contrainte parfois coûteuse découlant d’une obligation légale, l’archivage a considérablement évolué ces dernières années au Luxembourg.

Si le papier a longtemps été la règle, c’est l’archivage numérique qui tend à le suppléer aujourd’hui, avec tous les avantages qu’il représente en termes de gain de place, de temps, de sauvegarde à long terme et de sécurité.

Quelques prestataires de services et hébergeurs à travers le pays, pour la grande majorité estampillés professionnels du secteur financier (PSF) de support, se sont déjà spécialisés dans ce domaine et proposent, pour la plupart, des solutions clés en main de dématérialisation adaptées à tous les corps de métiers, selon leurs besoins spécifiques.

Législation innovante

Contrats, factures, extraits bancaires, actes notariés, voire plans d’architectes ou dossiers médicaux, peuvent désormais passer d’une version papier à une version en mode PDF ou en mode image, par le biais d’une transformation numérique, complétée le plus souvent par différentes solutions de gestion de ces documents. Le tout en conservant leur valeur légale lorsque l’opération est effectuée par une entreprise certifiée.

Encouragé par la Commission européenne, qui a mis en place en 2014 le règlement eIDAS (Electronic Identification and Trust Services) sur l’identification électronique et les services de confiance, l’archivage numérique — au-delà de la simple sauvegarde ou du stockage de documents — a toutefois franchi un nouveau pas au Grand-Duché, grâce à la nouvelle loi du 25 juillet 2015 sur l’archivage, intervenue près de huit ans après sa mise en chantier.

Cette loi est venue compléter le règlement eIDAS et, en l’absence d’une réglementation similaire en Europe, a permis au Luxembourg de se positionner en tant que précurseur en la matière.

Elle n’est véritablement entrée en vigueur que cette année, avec la certification des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) que sont Labgroup, depuis le 1er février dernier, et, plus récemment encore, Victor Buck Services, pour le groupe Post, depuis le 12 juillet.

Contrairement aux PSF et PSF de support, qui sont un agrément du ministère de l’Économie, le PSDC — défini par la loi — est un statut qui s’obtient par une certification délivrée par l’Institut luxembourgeois de la normalisation, de l’accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services (Ilnas).

Avantages compétitifs

«Ce contexte légal, issu de la volonté de longue date du Luxembourg de devenir le coffre-fort électronique de l’Europe, est particulièrement important», explique Jean Racine, chief business development officer chez Labgroup.

«Alors que, d’habitude, la loi est en retard sur les pratiques, là, nous avons une législation en avance sur ce qui se passe sur le terrain pour de très nombreuses années, et qui tire donc le marché, les changements et l’évolution des états d’esprit», ajoute-t-il. «Par le biais de ce nouvel outil juridique, les entreprises luxembourgeoises disposent d’une formidable opportunité de se différencier, avec des services numériques innovants, tels que ce coffre-fort numérique pour les documents à valeur légale», considère, pour sa part, Roland Bastin, partner information and technology risk chez Deloitte Luxembourg. «Et dans une tendance européenne d’évolution vers une économie numérique, cette nouvelle loi permet d’accentuer l’attractivité de la Place luxembourgeoise auprès des sociétés internationales.» Selon lui, «l’industrie des PSF pourra bénéficier des avantages compétitifs offerts par ce nouveau cadre légal». Et, affirme-t-il,«les PSF de support auront l’occasion d’étendre leurs activités grâce au statut de PSDC, et pourront répondre aux demandes des clients confrontés à la problématique de la transformation digitale, tout en gardant la valeur probante des documents dématérialisés».

Débuts prometteurs

Jean Racine précise toutefois que si le périmètre de la loi offrant cette garantie d’État via les PSDC est pour l’instant réduit aux deux types de documents que sont les actes sous seing privé — autrement dit les contrats — et les documents comptables, des projets de loi sont en cours pour élargir ce périmètre.

«Bientôt, à l’échelle de temps de l’archivage, de nombreux autres documents, notamment administratifs, pourront aussi être dématérialisés, et leur version papier détruite, et un jour qui n’est pas si éloigné, on assistera à un renversement avec la version électronique, qui deviendra l’original, et le papier la copie», ajoute-t-il encore.

Depuis qu’il bénéficie du statut de PSDC, Labgroup indique ne plus savoir où donner de la tête, nombreuses étant les PME et PMI luxembourgeoises et étrangères suffisamment matures pour s’intéresser à ces nouvelles solutions d’archivage. En volume, la plus importante serait une société britannique sans siège ni activité au Luxembourg.

Pour consulter l’article complet, veuiller suivre le lien : http://paperjam.lu/news/un-interet-marque-pour-les-nouveaux-psdc

Copyright @MaisonModerne

Auteur : Frédéric Antzorn

Cybersecurity Breakfast – 29/09/2017 – Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving

Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving with Jean Racine, CBDO at Labgroup

(left to right – Jean Racine, Labgroup, Johann Alessandroni, PECB Europe, Lionel Antunes, CTIE, Alain Wahl, ILNES)

 

Labgroup in Solutions Magazine ndl version – July 2017 edition

Discover the article about electronic archiving in Solutions magazine- Digital energy, July 2017 edition

Archiveer veilig! Houd u aan de nieuwe Belgische wetgeving en haal voordeel uit de vooruitgang van de Luxemburgse wet door uw operaties toe te vertrouwen aan Labgroup, de eerste operator met PSDC-certificering van de Luxemburgse regering.

Twee jaar na de aanneming van de Europese eIDAS-verordening (Electronic Identification and Trust Services) en enkele dagen na de inwerkingtreding ervan heeft de Belgische wetgever zijn verantwoordelijkheid genomen door de wet van 21 juli 2016 aan te nemen, die deze verordening toepast en aanvult.

De Europese tekst liet manoeuvreerruimte vrij. De Belgische wetgever heeft die benut door bepalingen op te nemen waarmee een volledig en samenhangend juridisch kader ontstaat voor elektronische archivering, met inbegrip van de ondertekening en tijdsaanduiding van documenten alsmede de verzending per aangetekende post en de uiteindelijke archivering in een elektronische omgeving.

Vermoeden van overeenstemming

Ook in Luxemburg heeft de wetgever een wettelijk kader gecreëerd. De wet van 25 juli 2015 betreffende de elektronische archivering is vooruitstrevend in de zin dat ze de bewijskracht erkent van elektronische kopieën van papieren documenten die door een gecertificeerde PSDC zijn geproduceerd (een Prestataire de Services de Dématérialisation et de Conservation ofwel een leverancier van dematerialisatie- en bewaringsdiensten). Deze wet verplicht de dienstverleners ertoe alle voorwaarden voor strenge getrouwheid aan het origineel na te leven; daarbij wordt hen het vermoeden van overeenstemming met het origineel toegekend.

Deze notie van vermoeden van overeenstemming is van fundamenteel belang. Ze veronderstelt dat een digitale drager bij geschillen onder bepaalde voorwaarden even geldig is als een schriftelijk bewijs. De Luxemburgse wet bepaalt verder dat de voorwaarden voor de uitoefening van twee nieuwe beroepsactiviteiten: leverancier van dematerialisatiediensten, dat wil zeggen een organisatie die de te behandelen documenten scant, en leverancier van bewaringsdiensten, dat wil zeggen de onderneming die de elektronische documenten langdurig opslaat.

Een PSDC kan worden vergeleken met een bank die informatie opslaat: bits en bytes. En net als een bank wordt deze gecertificeerde dienstverlener gewaarborgd door de Luxemburgse staat. Voor klanten betekent dit dat hun informatie beschikbaar is en vooral ook de mogelijkheid om die informatie te recupereren in het geval van bijvoorbeeld faling van de dienstverlener. Ook de omkeerbaarheid en de openheid van de formaten zijn voor 100% gegarandeerd. Deze twee nieuwe beroepsgroepen – die los van elkaar kunnen worden beoefend – worden stroomopwaarts gecontroleerd op met name hun financiële stabiliteit. Daardoor bieden ze een niet eerder gezien niveau van veiligheid.

Labgroup, de eerste gecertificeerde PSDC

Labgroup ontving op 1 februari 2017 als eerste de PSDC-certificatie, zowel voor de dematerialisatie als voor de bewaring. Informatie-eigenaars in eender welk land kunnen dus in volledig vertrouwen – met de garantie van de Luxemburgse Staat – hun dematerialisatie- en bewaringsoperaties aan Labgroup uitbesteden.

Voor Belgische bedrijven en organisatie hebben de twee wetsbepalingen – in België en in Luxemburg – duidelijke voordelen. Niet alleen zijn ze er via Labgroup zeker van dat ze de Belgische wetgeving respecteren; ze kunnen dankzij deze onderneming ook op een uniek dienstverleningsniveau rekenen.

Weliswaar geldt het principe van rechtsvermoeden alleen voor situaties die onder het Luxemburgs recht vallen. Er valt echter te verwachten dat rechterlijk ambtenaars in het buitenland geneigd zullen zijn de betrouwbaarheid te erkennen van een voorziening die in een Europees land gecertificeerd is op basis van wereldwijd erkende normatieve criteria. De regels en eisen waaraan Labgroup zich als PSDC moet houden, zijn immers minstens gelijkwaardig aan die van de Belgische wet van 21 juli 2016, beter bekend als de Digital Act, en het Franse decreet van 5 december 2016 betreffende de betrouwbaarheid van kopieën ter toepassing van artikel 1379 van de Franse Code Civil.

 

To have a look at the entire article : https://www.solutions-magazine.be/elektronische-archivering-het-beste-van-twee-werelden/