Evénement sur la protection des données – Labgroup et UBCOM présentent “Cybermanager”

Jean Racine, CBDO chez Labgroup

Labgroup a organisé, jeudi, le 25 janvier 2018, une conférence privée avec son partenaire UBCOM (www.ubcom.lu) dans les locaux de l’Hôtel Légère à Munsbach. Au programme de cette matinée était une présentation des deux partenaires stratégiques sur le thème :

« Comment évaluer sa conformité à la GDPR ».  

La complémentarité de la société luxembourgeoise Labgroup – expert de la gestion du cycle de vie de l’information depuis 40 ans – avec UBCOM, expert de la cybersécurité, a permis de développer une offre en très peu de temps, pour permettre à tout type d’organisation de connaître sa vraie situation en matière de protection des données et face à la GDPR.

Le règlement général sur la protection des données (RGPD, GDPR en anglais) entrera en application le 25 mai prochain.

Quatre mois avant son entrée en vigueur, Labgroup et UBCOM ont invité les participants à découvrir, au-delà de la simple théorie, un outil d’analyse.

La solution d’analyse d’écart, basée sur les plus grands référentiels tels que ISO, COBIT 5, ISACA, Sarbannes-Oxley et UBcyber, permet d’évaluer la maturité de l’organisation et des systèmes d’information au regard de la montée de la cybercriminalité et des contraintes GDPR, et ce, en cinq heures seulement !

Rapide, simple, efficace, l’outil « CyberManager » met fin à la complexification / mythification de la fameuse loi GDPR, qui n’est, selon UBCOM et Labgroup, que la « pointe de l’iceberg » quand on parle de la sécurité de l’information.

Frans Imbert-Vier, CEO, UBCOM

La finalité de cet outil est – au-delà de la conformité GDPR – d’accompagner les clients dans une politique de protection et de confiance digitale via l’implémentation (stratégique et opérationnelle) des bonnes pratiques de gestion des données et de la sécurité globale.

Les participants ont montré un grand intérêt envers ce sujet d’actualité et ont pu avoir une première impression de l’offre par le biais d’une présentation du questionnaire de 360 questions.

Un nouveau « challenge » pour les organisations, qui, si bien géré, peut être source de nouvelles opportunités.

Dans le cadre de ce nouveau partenariat, Labgroup et UBCOM proposent aux organisations une offre promotionnelle* incluant la préparation du workshop, sa réalisation en présence de deux consultants, le rapport de synthèse et une réunion de restitution.

 

 

*sous condition d’une conclusion d’un accord commercial formel avant le 28 février 2018.

Gouvernement.lu – Article : “Lancement du programme de digitalisation des PME”

Découvrez l’article publié par le site Gouvernement.lu, le 18/01/2018 sur le sujet :

Lancement du programme de digitalisation des PME porté par le ministère de l’Économie, la Chambre de commerce, la Chambre des métiers et Luxinnovation

En date du 18 janvier 2018, le ministère de l’Économie, la Chambre des métiers, la Chambre de commerce et l’agence nationale de promotion de l’innovation Luxinnovation ont présenté un programme de digitalisation des PME destiné à faire progresser la transition digitale au sein des petites et moyennes entreprises et à leur permettre d’utiliser au mieux les possibilités offertes par le numérique. S’adressant aux PME relevant des secteurs du commerce, de l’industrie, de l’artisanat et de l’horeca, l’assistance apportée aux entreprises comprend plusieurs étapes : la sensibilisation et l’information quant aux enjeux de la digitalisation, un diagnostic professionnel de l’entreprise avec formulation de recommandations, ainsi qu’un accompagnement lors de la mise en œuvre des solutions proposées.

Au sein de ce programme, la Chambre des métiers avec son service “eHandwierk” et la Chambre de commerce avec son équipe “Go Digital” proposent chacune une initiative adaptée aux besoins de leurs ressortissants pour sensibiliser les entreprises aux défis de la digitalisation et pour les informer, les orienter et les conseiller dans leurs démarches en ce sens. La phase de diagnostic par un expert ainsi que la phase subséquente de mise en œuvre sont proposées en collaboration avec Luxinnovation. Lors de ces deux étapes, les chambres professionnelles s’appuient sur l’offre de services “Fit 4 Digital” développée par Luxinnovation pour aider les PME à tirer avantage des technologies numériques.

Lors de leur processus de digitalisation, les entreprises peuvent bénéficier de différentes aides financières de la part du ministère de l’Économie, notamment de la prise en charge des frais du diagnostic à hauteur de 5.000 euros. Une fiche d’information portant sur l’assistance et les aides à la digitalisation dont peuvent bénéficier les PME est consultable sur Guichet.lu.

Lors de la conférence de presse, la secrétaire d’État à l’Économie, Francine Closener, a précisé: “Je me réjouis de la collaboration fructueuse avec nos partenaires institutionnels et avec Luxinnovation. S’inscrivant dans la démarche Rifkin, ce programme de digitalisation pour les PME est la transposition concrète du Pakt PRO Artisanat et du Pakt PRO Commerce.”

Le directeur de la Chambre de commerce, Carlo Thelen, a dit: “Avec le parcours Go Digital, la Chambre de commerce et la House of Entrepreneurship offrent aux TPE, PME et PMI qui souhaitent réussir leur transition digitale, un accompagnement sur mesure. Nos conseillers rendront personnellement visite à tout entrepreneur intéressé par le programme pour sonder leurs vrais besoins en matière de digitalisation. Les dirigeants d’entreprises de taille réduite ne savent bien souvent pas par où commencer et se posent des questions d’ordre pratique portant, entre autres, sur l’intégration du numérique dans leur quotidien ou sur les coûts liés à la mise en œuvre d’une stratégie de transition numérique.”

Le directeur général de la Chambre des métiers, Tom Wirion, a déclaré: “La mission de la Chambre des métiers consiste à sensibiliser, informer et guider nos entreprises dans leur transformation digitale avec le nouveau service ‘eHandwierk’, dédié à la digitalisation dans l’artisanat. Le secteur de l’artisanat est en train d’évoluer vers la digitalisation. Notre service va permettre aux entreprises du secteur de rester compétitives et de conquérir de nouveaux marchés.”

Jean-Michel Ludwig de Luxinnovation a expliqué: “Fit for Digital permet aux PME d’avoir un regard extérieur neutre sur leur maturité digitale actuelle. Ce programme offre un accompagnement sur-mesure par un expert agréé dans l’identification et l’implémentation de solutions IT porteuses de compétitivité.”

Le nouveau programme “Go Digital” de la Chambre de commerce démarre dès aujourd’hui. Le 20 mars 2018, le Digital Day proposera 4 workshops en allemand et en français, des témoignages d’entrepreneurs et des interventions d’experts. Les inscriptions sont désormais ouvertes sur www.godigital.lu.

Le service “eHandwierk” de la Chambre des métiers, opérationnel depuis le 2 janvier 2018, organisera et animera des plateformes d’échanges sous forme de workshops concernant les différentes problématiques autour de la numérisation. Le premier workshop aura lieu le 6 février 2018 et portera sur l’utilisation de smartphones et de tablettes dans le quotidien de l’entreprise.

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Communiqué par le ministère de l’Économie/ Chambre des métiers/ Chambre de commerce/ Luxinnovation

Le papier au passé

Découvrez l’article, publié par le Lëtzebuerger Journal, le 13/12/2017

Une entreprise numérique n’est plus un mythe mais une réalité, assurent Labgroup et ses partenaires

Si nombreux sont les entrepreneurs à entendre chaque jour les mots big data, réalité virtuelle ou encore impression en 3D, beaucoup d’entre eux pensent que ces innovations ne les concernent pas ou ne s’appliquent pas à leur domaine d’activité. Hier, Labgroup et ses partenaires NG Partners et OCI ont démontré le contraire. Ils ont organisé une «expérience digitale» à destination de leurs clients et prospects qui se sont immergés dans la vie d’une entreprise où le numérique est présent partout.

«Notre objectif est de sensibiliser les entreprises à la transformation digitale qui est une véritable révolution au même titre que la Révolution industrielle» souligne Philippe Lallemand, ingénieur commercial et responsable du développement commercial d’OCI au Luxembourg.

La société informatique est spécialisée dans les systèmes, alors que NG Partners s’illustre dans la production et la numérisation de documents. Quant à Labgroup, l’entreprise luxembourgeoise est connue pour ses activités d’archivage électronique et détient le label PSDC qui donne aux copies digitales la même valeur que les originaux en papier.

«C’est une formidable opportunité
de business et de modèles économiques», ajoute Patricia Foulon. Pour la directrice commerciale des agences Luxembourg et Lorraine chez OCI, l’offre proposée par le trio se distingue par une adaptabilité à l’activité de chaque entreprise. «On va de la commercialisation à la production avec un service après-vente et une analyse des résultats», souligne-t-elle.

Plongée chez Vitaleau

Un exemple vaut mieux qu’un long discours. Hier, les participants au rendez-vous ont plongé dans la vie d’une entreprise imaginaire de production de bouchons en plastiques baptisée Vitaleau.

De la prise de commande via une tablette au suivi de celle-ci en ligne, tout le procédé commercial est dématérialisé. Quant à la production, des démonstrations de scan en 3D, de modifications sur des écrans interactifs et le recours à des lunettes connectées rendent le procédé aussi moderne que performant.

Quant au traitement des documents, un logiciel intelligent extrait les données des factures et les intègre automatiquement dans un logiciel de comptabilité. Mais la numérisation ne s’arrête pas là: des tableaux de bord interactifs sont générés pour faire le point sur la santé financière et le carnet de commande de l’entreprise, avec un affichage dynamique des flux par exemple.

«Nous voulons faire écho à la stratégie de digitalisation du Luxembourg», insiste Philippe Lallemand. Pour OCI, le rendez-vous d’hier était le premier organisé en collaboration avec NG Partners et Labgroup. La société d’origine française est actuellement en développement au Luxembourg où elle compte six salariés. Dans l’Hexagone, le groupe totalise plus de 250 salariés.

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Auteur : Catherine Kurzawa

L’ENTREPRISE DIGITALE AU COURS D’UN PARCOURS IMMERSIF ET EXEMPLATIF

Article publié par Soluxions Magazine sur l’événement Expérience Digitale Luxembourg.

PREMIÈRE AU LUXEMBOURG. LE 12 DÉCEMBRE, LABGROUP, NG PARTNERS ET OCI INFORMATIQUE PROPOSERONT DE VIVRE UNE EXPÉRIENCE UNIQUE D’UNE ENTREPRISE DIGITALE AU COURS D’UN PARCOURS IMMERSIF ET EXEMPLATIF.

L’entreprise digitale existe-t-elle ? On en parle dans les salons, les conférences, mais qui l’a visitée ? Qui peut se targuer d’y travailler ou d’y collaborer ? Le 12 décembre, Labgroup, NG Partners et OCI Informatique proposeront de la visiter en réalité augmentée, de la réception à la production, en passant par le service technique et les ventes, avant de rencontrer la direction générale !

Rendez-vous au Novotel Kirchberg. Première session à 11:30. Au total, six sessions de 45 minutes se succéderont. Concrètement, les promoteurs de cet événement ont loué quatre salles, dans lesquelles seront présentés les bénéfices de la digitalisation, de façon interactive et concrète.

AVANT TOUT ACTEUR

«L’idée consiste à faire vivre aux visiteurs l’expérience d’une entreprise digitale, autrement dit sans papier, explique Manon Hugel, Marketing & Communication, OCI Informatique. Et les faire entrer tout de suite dans la réalité, en passant par les différents services : conception, production, vente, intervention technique, mais aussi comptabilité, gestion des ressources humaines… Au total, une dizaine d’étapes à franchir.»

Au cours de ce parcours, le visiteur n’est pas seulement spectateur; il est avant tout acteur. «À l’instar d’un serious game, il est appelé à agir, ce qui signifie arrêter des choix, lancer des actions… Son expérience sera totale. En cela, cet événement est véritablement une première », estime Philippe Lallemand, Ingénier commercial, OCI Informatique.

Eric Ludaescher, Sales Manager/Consultant, NG Partners : « Dans les présentations classiques, on nous dit ce qu’il est possible de faire ; ici, on vous propose de passer à l’étape de la réalisation. On passe d’une promesse -souvent floue- à la concrétisation.»

Les visiteurs seront accueillis dans chaque atelier. Ils vivront pleinement l’expérience, souvent en découvrant de nouvelles technologies. «Dans la production, ils découvriront l’apport des lunettes connectées, illustre Jean Racine, Chief Business Development Officer, Labgroup. Ils découvriront aussi, très concrètement, l’intérêt de la dématérialisation ‘intelligente’ des factures, grâce au ‘machine learning’. Il sera encore question du GDPR, le fameux règlement européen relatif à la protection des données.»

UNE IMMERSION POUR VAINCRE LES PEURS

Avec cette immersion, l’ambition est aussi de dédramatiser l’entreprise digitale, ajoute Patricia Foulon, Directrice commerciale Lorraine & Luxembourg, OCI Informatique. «Derrière l’inconnu, il y a un formidable potentiel. Rien de tel qu’une immersion, une mise en situation accompagnée et encadrée.»

Au cours de cet événement inédit, les visiteurs découvriront les expertises des trois partenaires et les solutions développées en commun. Présent au Luxembourg depuis 2000, OCI Informatique mettra en avant plus particulièrement ses prestations en mode SaaS autour d’outils comme les ERP et le CRM, NG Partners présentera ses équipements de saisie et de reproduction, également ses solutions en GED (Gestion Électronique des Documents). Enfin, Labgroup mettra en œuvre ses compétences en archivage, en dématérialisation et en hébergement.

«L’ambition est de répondre, par l’exemple, à des questions concrètes, et cela dans tous les domaines, au cours d’une expérience globale, résume Cindy Reff, Marketing Labgroup. Comment supporter les commerciaux et améliorer le suivi client ? Comment concevoir et produire en 3D pour gagner en réactivité ? Comment intervenir à distance pour dépanner les clients ? Comment profiter des technologies de reconnaissance de documents pour éviter les saisies manuelles ? Entre décision en temps réel et début de prédictif, comment la digitalisation s’inscrit-elle dans une démarche d’efficacité ? Pas de discours, pas de promesses, du réel, du concret !»

Pour plus d’information sur cet événement et vous inscrire, veuillez consulter le site https://www.labgroup.com/event-digital-luxembourg-experience-digitale/

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Auteur – Alain De Fooz

Cybersecurity4Success – Conclusion: «La formation des employés est primordiale!»

Découvrez l’article sur la journée Cybersecurity4success et téléchargez la présentation powerpoint de Jean Racine, CBDO chez Labgroup ! 

“La deuxième édition de la journée Cybersecurity4success s’est tenue le 17 octobre 2017 à la Chambre des Métiers. Elle a été organisée par la Chambre des Métiers en collaboration avec Enterprise Europe Network, Luxinnovation, Chambre de Commerce, House of Training, Fédération des Artisans, clc, Securitymadein.lu, et la Commission européenne.

Cette journée a permis aux participants de partager leur expérience en matière de la transformation digitale avec d’autres chefs d’entreprise et de se familiariser lors d’un après-midi de workshops avec les différentes possibilités pour garantir la sécurité de l’information en entreprise. 

Après des mots introductifs par le Directeur Général de la Chambre des Métiers, Tom Wirion, et la cheffe de la représentation de la Commission européenne au Luxembourg, Yuriko Backes, une première table ronde donnait la parole à trois chefs d’entreprise pour témoigner leurs premières expériences d’une cyberattaque. «Après qu’un de mes employés a ouvert un courrier électronique suspect, les fichiers ont commencé à disparaitre du serveur l’un après l’autre,» se souvient Joël Schons de Stugalux Construction, qui n’avait pas d’autre choix que de débrancher tous les ordinateurs pour ainsi minimiser les pertes et les dommages. 

«Il ne faut surtout pas bricoler soi-même mais référer à des spécialistes,» a ajouté Pierre Friob, dirigeant des magasins Abitare et victime d’une cyber-attaque qui a infecté plusieurs de ses courriers électroniques il y a quelques années. «Aujourd’hui, tous mes données, documents, fichiers sont stockés et sauvegardés dans un centre de données dédié au stockage et traitement de données informatiques». Une démarche similaire a été prise par Michel Sanna, patron des salons de coiffure BEIM FIGARO, qui vient de passer à l’e-facturation et l’archivage électronique. «Je me suis renseigné auprès de la Chambre des Métiers sur les différentes acteurs et possibilités avant de m’y mettre,» explique Monsieur Sanna. «Les offres sont là, mais il est important de ne pas avoir peur mais d’oser et de se lancer». Une démarche qui lui a permis de passer moins de temps à gérer des tonnes de papiers pour se reconcentrer sur son activité artisanale.

Une deuxième table ronde a réuni des représentants de Securitymadein.lu, la Fédération des Artisans, Telindus et la Chambre des Métiers, qui sont parvenus à un consensus au sujet du fait que la formation des employés est primordiale pour réussir l’évolution d’une entreprise vers le digital, notamment du côté de la cybersécurité.  

Despina Spanou, directrice chargée de la cybersécurité de la Commission européenne, a souligné qu’il est important de former aussi les experts de demain, par exemple à travers des campagnes de sensibilisations et de la promotion de la formation continue.

Un après-midi de workshops a permis aux participants de la conférence d’entrer au vif du sujet, que ce soit à travers les bons conseils du nouveau centre national de compétences en cybersécurité ou des renseignemnts sur les deux aides disponibles aux PME, incluant le conseil direct par la fédération c@fil dans les démarches de digitalisation et l’aide financière à travers du programme Fit4Digital de Luxinnovation. 

Consultez l’article entier ici.

Téléchargez la présentation – Yes we scan!, Jean Racine, CBDO chez Labgroup.

 

Article Paperjam – Un intérêt marqué pour les nouveaux PSDC

Découvrez l’article Paperjam, publié le 29 septembre 2017 sur le site www.paperjam.lu, sur l’archivage électronique et les nouveaux PSDC.

La certification, cette année, des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) de documents marque les premiers effets concrets de la nouvelle loi sur l’archivage électronique, qui fait du Luxembourg un précurseur en la matière.

Longtemps perçu par les PMI et les PME comme une contrainte parfois coûteuse découlant d’une obligation légale, l’archivage a considérablement évolué ces dernières années au Luxembourg.

Si le papier a longtemps été la règle, c’est l’archivage numérique qui tend à le suppléer aujourd’hui, avec tous les avantages qu’il représente en termes de gain de place, de temps, de sauvegarde à long terme et de sécurité.

Quelques prestataires de services et hébergeurs à travers le pays, pour la grande majorité estampillés professionnels du secteur financier (PSF) de support, se sont déjà spécialisés dans ce domaine et proposent, pour la plupart, des solutions clés en main de dématérialisation adaptées à tous les corps de métiers, selon leurs besoins spécifiques.

Législation innovante

Contrats, factures, extraits bancaires, actes notariés, voire plans d’architectes ou dossiers médicaux, peuvent désormais passer d’une version papier à une version en mode PDF ou en mode image, par le biais d’une transformation numérique, complétée le plus souvent par différentes solutions de gestion de ces documents. Le tout en conservant leur valeur légale lorsque l’opération est effectuée par une entreprise certifiée.

Encouragé par la Commission européenne, qui a mis en place en 2014 le règlement eIDAS (Electronic Identification and Trust Services) sur l’identification électronique et les services de confiance, l’archivage numérique — au-delà de la simple sauvegarde ou du stockage de documents — a toutefois franchi un nouveau pas au Grand-Duché, grâce à la nouvelle loi du 25 juillet 2015 sur l’archivage, intervenue près de huit ans après sa mise en chantier.

Cette loi est venue compléter le règlement eIDAS et, en l’absence d’une réglementation similaire en Europe, a permis au Luxembourg de se positionner en tant que précurseur en la matière.

Elle n’est véritablement entrée en vigueur que cette année, avec la certification des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) que sont Labgroup, depuis le 1er février dernier, et, plus récemment encore, Victor Buck Services, pour le groupe Post, depuis le 12 juillet.

Contrairement aux PSF et PSF de support, qui sont un agrément du ministère de l’Économie, le PSDC — défini par la loi — est un statut qui s’obtient par une certification délivrée par l’Institut luxembourgeois de la normalisation, de l’accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services (Ilnas).

Avantages compétitifs

«Ce contexte légal, issu de la volonté de longue date du Luxembourg de devenir le coffre-fort électronique de l’Europe, est particulièrement important», explique Jean Racine, chief business development officer chez Labgroup.

«Alors que, d’habitude, la loi est en retard sur les pratiques, là, nous avons une législation en avance sur ce qui se passe sur le terrain pour de très nombreuses années, et qui tire donc le marché, les changements et l’évolution des états d’esprit», ajoute-t-il. «Par le biais de ce nouvel outil juridique, les entreprises luxembourgeoises disposent d’une formidable opportunité de se différencier, avec des services numériques innovants, tels que ce coffre-fort numérique pour les documents à valeur légale», considère, pour sa part, Roland Bastin, partner information and technology risk chez Deloitte Luxembourg. «Et dans une tendance européenne d’évolution vers une économie numérique, cette nouvelle loi permet d’accentuer l’attractivité de la Place luxembourgeoise auprès des sociétés internationales.» Selon lui, «l’industrie des PSF pourra bénéficier des avantages compétitifs offerts par ce nouveau cadre légal». Et, affirme-t-il,«les PSF de support auront l’occasion d’étendre leurs activités grâce au statut de PSDC, et pourront répondre aux demandes des clients confrontés à la problématique de la transformation digitale, tout en gardant la valeur probante des documents dématérialisés».

Débuts prometteurs

Jean Racine précise toutefois que si le périmètre de la loi offrant cette garantie d’État via les PSDC est pour l’instant réduit aux deux types de documents que sont les actes sous seing privé — autrement dit les contrats — et les documents comptables, des projets de loi sont en cours pour élargir ce périmètre.

«Bientôt, à l’échelle de temps de l’archivage, de nombreux autres documents, notamment administratifs, pourront aussi être dématérialisés, et leur version papier détruite, et un jour qui n’est pas si éloigné, on assistera à un renversement avec la version électronique, qui deviendra l’original, et le papier la copie», ajoute-t-il encore.

Depuis qu’il bénéficie du statut de PSDC, Labgroup indique ne plus savoir où donner de la tête, nombreuses étant les PME et PMI luxembourgeoises et étrangères suffisamment matures pour s’intéresser à ces nouvelles solutions d’archivage. En volume, la plus importante serait une société britannique sans siège ni activité au Luxembourg.

Pour consulter l’article complet, veuiller suivre le lien : http://paperjam.lu/news/un-interet-marque-pour-les-nouveaux-psdc

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Auteur : Frédéric Antzorn

Cybersecurity Breakfast – 29/09/2017 – Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving

Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving with Jean Racine, CBDO at Labgroup

(left to right – Jean Racine, Labgroup, Johann Alessandroni, PECB Europe, Lionel Antunes, CTIE, Alain Wahl, ILNES)

 

Labgroup in Solutions Magazine ndl version – July 2017 edition

Discover the article about electronic archiving in Solutions magazine- Digital energy, July 2017 edition

Archiveer veilig! Houd u aan de nieuwe Belgische wetgeving en haal voordeel uit de vooruitgang van de Luxemburgse wet door uw operaties toe te vertrouwen aan Labgroup, de eerste operator met PSDC-certificering van de Luxemburgse regering.

Twee jaar na de aanneming van de Europese eIDAS-verordening (Electronic Identification and Trust Services) en enkele dagen na de inwerkingtreding ervan heeft de Belgische wetgever zijn verantwoordelijkheid genomen door de wet van 21 juli 2016 aan te nemen, die deze verordening toepast en aanvult.

De Europese tekst liet manoeuvreerruimte vrij. De Belgische wetgever heeft die benut door bepalingen op te nemen waarmee een volledig en samenhangend juridisch kader ontstaat voor elektronische archivering, met inbegrip van de ondertekening en tijdsaanduiding van documenten alsmede de verzending per aangetekende post en de uiteindelijke archivering in een elektronische omgeving.

Vermoeden van overeenstemming

Ook in Luxemburg heeft de wetgever een wettelijk kader gecreëerd. De wet van 25 juli 2015 betreffende de elektronische archivering is vooruitstrevend in de zin dat ze de bewijskracht erkent van elektronische kopieën van papieren documenten die door een gecertificeerde PSDC zijn geproduceerd (een Prestataire de Services de Dématérialisation et de Conservation ofwel een leverancier van dematerialisatie- en bewaringsdiensten). Deze wet verplicht de dienstverleners ertoe alle voorwaarden voor strenge getrouwheid aan het origineel na te leven; daarbij wordt hen het vermoeden van overeenstemming met het origineel toegekend.

Deze notie van vermoeden van overeenstemming is van fundamenteel belang. Ze veronderstelt dat een digitale drager bij geschillen onder bepaalde voorwaarden even geldig is als een schriftelijk bewijs. De Luxemburgse wet bepaalt verder dat de voorwaarden voor de uitoefening van twee nieuwe beroepsactiviteiten: leverancier van dematerialisatiediensten, dat wil zeggen een organisatie die de te behandelen documenten scant, en leverancier van bewaringsdiensten, dat wil zeggen de onderneming die de elektronische documenten langdurig opslaat.

Een PSDC kan worden vergeleken met een bank die informatie opslaat: bits en bytes. En net als een bank wordt deze gecertificeerde dienstverlener gewaarborgd door de Luxemburgse staat. Voor klanten betekent dit dat hun informatie beschikbaar is en vooral ook de mogelijkheid om die informatie te recupereren in het geval van bijvoorbeeld faling van de dienstverlener. Ook de omkeerbaarheid en de openheid van de formaten zijn voor 100% gegarandeerd. Deze twee nieuwe beroepsgroepen – die los van elkaar kunnen worden beoefend – worden stroomopwaarts gecontroleerd op met name hun financiële stabiliteit. Daardoor bieden ze een niet eerder gezien niveau van veiligheid.

Labgroup, de eerste gecertificeerde PSDC

Labgroup ontving op 1 februari 2017 als eerste de PSDC-certificatie, zowel voor de dematerialisatie als voor de bewaring. Informatie-eigenaars in eender welk land kunnen dus in volledig vertrouwen – met de garantie van de Luxemburgse Staat – hun dematerialisatie- en bewaringsoperaties aan Labgroup uitbesteden.

Voor Belgische bedrijven en organisatie hebben de twee wetsbepalingen – in België en in Luxemburg – duidelijke voordelen. Niet alleen zijn ze er via Labgroup zeker van dat ze de Belgische wetgeving respecteren; ze kunnen dankzij deze onderneming ook op een uniek dienstverleningsniveau rekenen.

Weliswaar geldt het principe van rechtsvermoeden alleen voor situaties die onder het Luxemburgs recht vallen. Er valt echter te verwachten dat rechterlijk ambtenaars in het buitenland geneigd zullen zijn de betrouwbaarheid te erkennen van een voorziening die in een Europees land gecertificeerd is op basis van wereldwijd erkende normatieve criteria. De regels en eisen waaraan Labgroup zich als PSDC moet houden, zijn immers minstens gelijkwaardig aan die van de Belgische wet van 21 juli 2016, beter bekend als de Digital Act, en het Franse decreet van 5 december 2016 betreffende de betrouwbaarheid van kopieën ter toepassing van artikel 1379 van de Franse Code Civil.

 

To have a look at the entire article : https://www.solutions-magazine.be/elektronische-archivering-het-beste-van-twee-werelden/

Labgroup dans Solutions Magazine- juillet 2017

Découvrez l’article sur l’archivage électronique dans le magazine Solutions – Digital Energy, édition juillet 2017

Archivage électronique légal : respectez la nouvelle loi belge et tirez parti des avancées de la loi luxembourgeoise, en confiant vos documents légaux à Labgroup, premier opérateur certifié PSDC par le Gouvernement luxembourgeois.

Deux ans après l’adoption du règlement européen eIDAS (Electronic Identification and electronic Trust Services) et quelques jours après  son entrée en application, le législateur belge a assumé ses responsabilités en votant la loi du 21 juillet 2016 qui le met en œuvre et le complète.

Le texte européen laissait des marges de manœuvres qui ont été exploitées par la loi belge, qui consacre des dispositions visant à parfaire un cadre juridique cohérent pour la digitalisation des documents papier, la signature électronique ainsi que l’horodatage des documents, leur transmission par voie de recommandé  électronique, et, leur conservation intègre à long terme.

Présomption de conformité

Au Luxembourg aussi, le législateur a anticipé la transformation digitale. La loi du 25 juillet 2015 relative à l’archivage électronique se veut avant-gardiste dans le sens où elle reconnaît la présomption de conformité aux copies électroniques de documents papier produites par un « PSDC » certifié (Prestataire de Services de Dématérialisation et/ou de Conservation). Sous condition bien entendu, que soient strictement respecté un ensemble d’exigences méthodologiques et techniques garantissant la fidélité de ladite copie à l’original papier ; ainsi que sa non-altération dans le temps.

En présumant que la preuve numérique est aussi valide qu’une preuve écrite en cas d’un litige, la présomption de conformité renverse la charge. C’est à la partie adverse de chercher la faille… et plus à l’entreprise qui a exploité les nouvelles technologies de démontrer leur juste utilisation. Par ailleurs, la loi luxembourgeoise précise les conditions de certification :

– en tant que prestataire de service de dématérialisation (PSDC-D) d’une organisation qui veut scanner des documents avant de les détruire,

– en tant que prestataire de service de conservation (PSDC-C) d’une organisation qui veut assurer l’archivage à valeur probante des images scannées et des documents nativement électroniques.

Un PSDC-C peut être assimilé à une banque qui stocke de l’information -des bits et bytes. Et, comme dans une banque, les dépôts chez le prestataire certifié sont garantis par l’État luxembourgeois. Ce qui signifie, pour les clients, la disponibilité de leurs informations en toute circonstance, et donc, la possibilité de les récupérer même en cas de défaillance de la « banque ». La réversibilité et la lisibilité sont également assurées, via l’utilisation de formats de fichiers « ouverts », autrement dit non-propriétaires. Comme une banque, la stabilité financière du PSDC est contrôlée par l’autorité de surveillance du secteur financier. Et c’est une administration, en l’occurrence l’ILNAS (Institut Luxembourgeois de la Normalisation, de l’Accréditation, de la Sécurité et qualité des produits et services) qui veille, entre 2 audits annuels, à la bonne application du référentiel de pratiques PSDC. En résumé, le statut PSDC propose un niveau de sécurité inédit !

Labgroup, premier certifié PSDC

Le 1er février 2017, Lab Luxembourg S.A. (Labgroup) devenait le premier PSDC certifié, aussi bien pour la dématérialisation que pour la conservation. C’est donc en toute sécurité -avec la garantie de l’État luxembourgeois- que les détenteurs d’informations de tous pays peuvent donc confier à Labgroup tant leurs opérations de dématérialisation que de conservation.

De tous pays… mais en particulier les entreprises et organisations belges, pour lesquelles la combinaison du droit national avec les législations luxembourgeoise et européennes offre un indéniable avantage en termes de sécurité juridique et de sécurité de l’information.

Certes, la présomption de conformité automatique ne vaudra que dans une situation soumise à la loi luxembourgeoise. Toutefois, on peut penser que les magistrats étrangers seront enclins à reconnaître la fiabilité d’un dispositif certifié dans un pays européen sur la base de critères normatifs mondialement reconnus. En effet, les règles et les exigences auxquelles Labgroup doit se conformer en tant que PSDC, sont au moins équivalentes celles instaurées par les textes de la loi belge du 21 juillet 2016, plus connue sous la désignation de Digital Act, et du décret français du 5 décembre 2016 relatif à la fiabilité des copies et pris pour l’application de l’article 1379 du code civil.

 

Pour consulter l’article complet : https://www.solutions-magazine.com/archivage-electronique-legal/

 

9 June – International Archives Day

This international day aims to raise awareness amongst organisations regarding the importance of archiving media, different types of documents and retention periods. With good management, archives explain and justify the past. They may also contribute to the future actions of an organisation and help ensure its proper function: With triple administrative, legal and testimonial functions […]

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