Journée mondiale sans papier – 25 octobre 2017

Cette journée mondiale encourage les entreprises à diminuer leur consommation de papier, non seulement pour des raisons écologiques mais aussi financières. (source : Journée-mondiale.com)

À l’ère de la transformation digitale, la consommation annuelle de papier au niveau mondial s’élève encore, selon le Planetoscope, à 398 000 000 000 kg, dont seulement 35% seraient recyclés.

Quelques chiffres : 

  • Un employé de bureau consomme en moyenne 10.000 feuilles de papier/an,
  • Un document est copié en moyenne 9 à 11 fois,
  • Lorsqu’un employé quitte l’entreprise, 70% de ses connaissances partent avec lui,
  • Les grandes sociétés égarent un document toutes les 12 secondes,
  • ¾ des entreprises fermeraient leurs portes dans un délai de 3 semaines si elles devaient perdre leurs archives papier suite à incendie ou inondation

Or, avec les réglementations eIDAS (electronic identification and trust services for electronic transactions) et GDPR  (General Data Protection Regulation), l’Union Européenne a créé un cadre favorable à la digitalisation des entreprises, tout en garantissant la protection des données personnelles de ses citoyens. Luxembourg, poursuivant son objectif de devenir une « digital nation », a légiféré de façon innovante sur l’archivage électronique et institué une certification des Prestataires de Services de Dématérialisation ou de Conservation (PSDC). 

Les avantages du bureau “zéro papier” :

  • Gestion de l’espace plus efficace
  • Productivité accrue
    • Gain de temps en recherche d’informations
    • Accès plus rapide aux informations et meilleure collaboration
    • Automatisation des flux de travail
    • Travail à distance
  • Protection des informations
    • Sauvegarde des données facilitée
    • Contrôle d’accès automatisé
    • Traçabilité des mouvements documentaires
    • Horodatage des données
    • ETC.

Alors, en ce jour, actons que le futur est sans papier, et prenons la bonne résolution de s’engager sur la bonne voie, en commençant… par avoir moins de papier… et une bonne gouvernance de l’information !

En tant qu’expert de la gestion des documents et données depuis 40 ans, Labgroup vous propose de vous accompagner sur cette voie avec différents services de conseil, des formations & de la consultance, afin de :

1. Etablir votre politique de gouvernance de l’information avec nos experts en archivistique.
 
2. Digitaliser vos documents papier, c’est-à-dire convertir les informations analogiques qu’ils contiennent en données électroniques, pour produire :
  • non seulement une image, mais aussi
  • une version électronique du contenu textuel, via reconnaissance optique de caractères  ou OCR, pour la recherche plein texte, et
  • un fichier des données extraites du document grâce à la technologie de lecture automatique (LAD/RAD), pour traitement automatisé (import dans votre logiciel comptable par exemple).
  • Implémenter un système de gestion électronique des documents (GED) pour faciliter la collaboration et la partage d’information ; ainsi qu’un système d’archivage électronique pour préserver la valeur légale des documents.
3. Dématérialiser nativement, et progressivement, vos échanges et vos traitements d’information, pour ne plus avoir à passer par l’étape papier et atteindre le graal du “zéro papier”, grâce par exemple à la facturation électronique et la signature électronique.
 

Zéro papier… et gain de productivité ?
Un employé de bureau consacre 15% de son temps à chercher de l’information. Réduire ce temps perdu d’un tiers (5%) libère :

  • 24 minutes par jour de travail
  • 2 heures par semaine
  • Plus d’une journée de travail par employé et par mois !
Convaincu ? Pour plus d’information, nous vous invitons à contacter presales@labgroup.com ou par téléphone au +352 350 222 999.
 

Cybersecurity4Success – Conclusion: «La formation des employés est primordiale!»

Découvrez l’article sur la journée Cybersecurity4success et téléchargez la présentation powerpoint de Jean Racine, CBDO chez Labgroup ! 

“La deuxième édition de la journée Cybersecurity4success s’est tenue le 17 octobre 2017 à la Chambre des Métiers. Elle a été organisée par la Chambre des Métiers en collaboration avec Enterprise Europe Network, Luxinnovation, Chambre de Commerce, House of Training, Fédération des Artisans, clc, Securitymadein.lu, et la Commission européenne.

Cette journée a permis aux participants de partager leur expérience en matière de la transformation digitale avec d’autres chefs d’entreprise et de se familiariser lors d’un après-midi de workshops avec les différentes possibilités pour garantir la sécurité de l’information en entreprise. 

Après des mots introductifs par le Directeur Général de la Chambre des Métiers, Tom Wirion, et la cheffe de la représentation de la Commission européenne au Luxembourg, Yuriko Backes, une première table ronde donnait la parole à trois chefs d’entreprise pour témoigner leurs premières expériences d’une cyberattaque. «Après qu’un de mes employés a ouvert un courrier électronique suspect, les fichiers ont commencé à disparaitre du serveur l’un après l’autre,» se souvient Joël Schons de Stugalux Construction, qui n’avait pas d’autre choix que de débrancher tous les ordinateurs pour ainsi minimiser les pertes et les dommages. 

«Il ne faut surtout pas bricoler soi-même mais référer à des spécialistes,» a ajouté Pierre Friob, dirigeant des magasins Abitare et victime d’une cyber-attaque qui a infecté plusieurs de ses courriers électroniques il y a quelques années. «Aujourd’hui, tous mes données, documents, fichiers sont stockés et sauvegardés dans un centre de données dédié au stockage et traitement de données informatiques». Une démarche similaire a été prise par Michel Sanna, patron des salons de coiffure BEIM FIGARO, qui vient de passer à l’e-facturation et l’archivage électronique. «Je me suis renseigné auprès de la Chambre des Métiers sur les différentes acteurs et possibilités avant de m’y mettre,» explique Monsieur Sanna. «Les offres sont là, mais il est important de ne pas avoir peur mais d’oser et de se lancer». Une démarche qui lui a permis de passer moins de temps à gérer des tonnes de papiers pour se reconcentrer sur son activité artisanale.

Une deuxième table ronde a réuni des représentants de Securitymadein.lu, la Fédération des Artisans, Telindus et la Chambre des Métiers, qui sont parvenus à un consensus au sujet du fait que la formation des employés est primordiale pour réussir l’évolution d’une entreprise vers le digital, notamment du côté de la cybersécurité.  

Despina Spanou, directrice chargée de la cybersécurité de la Commission européenne, a souligné qu’il est important de former aussi les experts de demain, par exemple à travers des campagnes de sensibilisations et de la promotion de la formation continue.

Un après-midi de workshops a permis aux participants de la conférence d’entrer au vif du sujet, que ce soit à travers les bons conseils du nouveau centre national de compétences en cybersécurité ou des renseignemnts sur les deux aides disponibles aux PME, incluant le conseil direct par la fédération c@fil dans les démarches de digitalisation et l’aide financière à travers du programme Fit4Digital de Luxinnovation. 

Consultez l’article entier ici.

Téléchargez la présentation – Yes we scan!, Jean Racine, CBDO chez Labgroup.

 

Article Paperjam – Un intérêt marqué pour les nouveaux PSDC

Découvrez l’article Paperjam, publié le 29 septembre 2017 sur le site www.paperjam.lu, sur l’archivage électronique et les nouveaux PSDC.

La certification, cette année, des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) de documents marque les premiers effets concrets de la nouvelle loi sur l’archivage électronique, qui fait du Luxembourg un précurseur en la matière.

Longtemps perçu par les PMI et les PME comme une contrainte parfois coûteuse découlant d’une obligation légale, l’archivage a considérablement évolué ces dernières années au Luxembourg.

Si le papier a longtemps été la règle, c’est l’archivage numérique qui tend à le suppléer aujourd’hui, avec tous les avantages qu’il représente en termes de gain de place, de temps, de sauvegarde à long terme et de sécurité.

Quelques prestataires de services et hébergeurs à travers le pays, pour la grande majorité estampillés professionnels du secteur financier (PSF) de support, se sont déjà spécialisés dans ce domaine et proposent, pour la plupart, des solutions clés en main de dématérialisation adaptées à tous les corps de métiers, selon leurs besoins spécifiques.

Législation innovante

Contrats, factures, extraits bancaires, actes notariés, voire plans d’architectes ou dossiers médicaux, peuvent désormais passer d’une version papier à une version en mode PDF ou en mode image, par le biais d’une transformation numérique, complétée le plus souvent par différentes solutions de gestion de ces documents. Le tout en conservant leur valeur légale lorsque l’opération est effectuée par une entreprise certifiée.

Encouragé par la Commission européenne, qui a mis en place en 2014 le règlement eIDAS (Electronic Identification and Trust Services) sur l’identification électronique et les services de confiance, l’archivage numérique — au-delà de la simple sauvegarde ou du stockage de documents — a toutefois franchi un nouveau pas au Grand-Duché, grâce à la nouvelle loi du 25 juillet 2015 sur l’archivage, intervenue près de huit ans après sa mise en chantier.

Cette loi est venue compléter le règlement eIDAS et, en l’absence d’une réglementation similaire en Europe, a permis au Luxembourg de se positionner en tant que précurseur en la matière.

Elle n’est véritablement entrée en vigueur que cette année, avec la certification des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) que sont Labgroup, depuis le 1er février dernier, et, plus récemment encore, Victor Buck Services, pour le groupe Post, depuis le 12 juillet.

Contrairement aux PSF et PSF de support, qui sont un agrément du ministère de l’Économie, le PSDC — défini par la loi — est un statut qui s’obtient par une certification délivrée par l’Institut luxembourgeois de la normalisation, de l’accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services (Ilnas).

Avantages compétitifs

«Ce contexte légal, issu de la volonté de longue date du Luxembourg de devenir le coffre-fort électronique de l’Europe, est particulièrement important», explique Jean Racine, chief business development officer chez Labgroup.

«Alors que, d’habitude, la loi est en retard sur les pratiques, là, nous avons une législation en avance sur ce qui se passe sur le terrain pour de très nombreuses années, et qui tire donc le marché, les changements et l’évolution des états d’esprit», ajoute-t-il. «Par le biais de ce nouvel outil juridique, les entreprises luxembourgeoises disposent d’une formidable opportunité de se différencier, avec des services numériques innovants, tels que ce coffre-fort numérique pour les documents à valeur légale», considère, pour sa part, Roland Bastin, partner information and technology risk chez Deloitte Luxembourg. «Et dans une tendance européenne d’évolution vers une économie numérique, cette nouvelle loi permet d’accentuer l’attractivité de la Place luxembourgeoise auprès des sociétés internationales.» Selon lui, «l’industrie des PSF pourra bénéficier des avantages compétitifs offerts par ce nouveau cadre légal». Et, affirme-t-il,«les PSF de support auront l’occasion d’étendre leurs activités grâce au statut de PSDC, et pourront répondre aux demandes des clients confrontés à la problématique de la transformation digitale, tout en gardant la valeur probante des documents dématérialisés».

Débuts prometteurs

Jean Racine précise toutefois que si le périmètre de la loi offrant cette garantie d’État via les PSDC est pour l’instant réduit aux deux types de documents que sont les actes sous seing privé — autrement dit les contrats — et les documents comptables, des projets de loi sont en cours pour élargir ce périmètre.

«Bientôt, à l’échelle de temps de l’archivage, de nombreux autres documents, notamment administratifs, pourront aussi être dématérialisés, et leur version papier détruite, et un jour qui n’est pas si éloigné, on assistera à un renversement avec la version électronique, qui deviendra l’original, et le papier la copie», ajoute-t-il encore.

Depuis qu’il bénéficie du statut de PSDC, Labgroup indique ne plus savoir où donner de la tête, nombreuses étant les PME et PMI luxembourgeoises et étrangères suffisamment matures pour s’intéresser à ces nouvelles solutions d’archivage. En volume, la plus importante serait une société britannique sans siège ni activité au Luxembourg.

Pour consulter l’article complet, veuiller suivre le lien : http://paperjam.lu/news/un-interet-marque-pour-les-nouveaux-psdc

Copyright @MaisonModerne

Auteur : Frédéric Antzorn

Cybersecurity Breakfast – 29/09/2017 – Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving

Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving with Jean Racine, CBDO at Labgroup

(left to right – Jean Racine, Labgroup, Johann Alessandroni, PECB Europe, Lionel Antunes, CTIE, Alain Wahl, ILNES)