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«Une communauté d’affaires des plus dynamiques»

Monsieur Moreau, pouvez-vous, en quelques mots, résumer l’activité de votre société?

«Labgroup accompagne ses clients dans leurs projets de transformation digitale, en les aidant à dématérialiser et conserver leurs documents et leurs données.

Les services de Labgroup incluent:

  • la consultance et la formation en archivistique,
  • la numérisation et la lecture automatique des documents papier,
  • l’entreposage et la destruction des archives physiques,
  • la gestion électronique de documents,
  • la signature électronique de documents,
  • l’archivage électronique (légal PSDC).

Vous venez de renouveler votre adhésion au Paperjam Club. Quelles sont les raisons qui vous ont poussé à le faire?

«Le Paperjam Club constitue une communauté d’affaires des plus dynamiques, et les événements qui la rassemble permettent d’échanger et de découvrir de nombreuses opportunités. La participation à ces événements permet également de s’informer et de se former autour des sujets d’actualités.

Autre bel avantage des membres – profiter de la visibilité de la «newsletter» quotidienne via la rubrique «Paperjam Club Member News».

Qu’y recherchez-vous? Et que pensez-vous pouvoir proposer aux membres que vous allez y rencontrer?

«Il serait hypocrite de nier la motivation mercantile de notre adhésion. Le Paperjam Club est un vecteur de promotion de l’achat local en circuit court. Par ailleurs, le climat détendu et casual des événements rend les discussions d’affaires moins stressantes!

Labgroup est une société ouverte: aux tendances du business, aux nouveaux moyens de communication… Notre culture d’entreprise est fondée sur le partage de savoir-faire en matière de gestion de l’information, y compris dans le cadre du club.»

Bernard Moreau: «Il serait hypocrite de nier la motivation mercantile de notre adhésion. Le Paperjam Club est un vecteur de promotion de l’achat local en circuit court. Par ailleurs, le climat détendu et casual des événements rend les discussions d’affaires moins stressantes!»

@Copyright: Paperjam Club

Article Paperjam – Un intérêt marqué pour les nouveaux PSDC

Découvrez l’article Paperjam, publié le 29 septembre 2017 sur le site www.paperjam.lu, sur l’archivage électronique et les nouveaux PSDC.

La certification, cette année, des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) de documents marque les premiers effets concrets de la nouvelle loi sur l’archivage électronique, qui fait du Luxembourg un précurseur en la matière.

Longtemps perçu par les PMI et les PME comme une contrainte parfois coûteuse découlant d’une obligation légale, l’archivage a considérablement évolué ces dernières années au Luxembourg.

Si le papier a longtemps été la règle, c’est l’archivage numérique qui tend à le suppléer aujourd’hui, avec tous les avantages qu’il représente en termes de gain de place, de temps, de sauvegarde à long terme et de sécurité.

Quelques prestataires de services et hébergeurs à travers le pays, pour la grande majorité estampillés professionnels du secteur financier (PSF) de support, se sont déjà spécialisés dans ce domaine et proposent, pour la plupart, des solutions clés en main de dématérialisation adaptées à tous les corps de métiers, selon leurs besoins spécifiques.

Législation innovante

Contrats, factures, extraits bancaires, actes notariés, voire plans d’architectes ou dossiers médicaux, peuvent désormais passer d’une version papier à une version en mode PDF ou en mode image, par le biais d’une transformation numérique, complétée le plus souvent par différentes solutions de gestion de ces documents. Le tout en conservant leur valeur légale lorsque l’opération est effectuée par une entreprise certifiée.

Encouragé par la Commission européenne, qui a mis en place en 2014 le règlement eIDAS (Electronic Identification and Trust Services) sur l’identification électronique et les services de confiance, l’archivage numérique — au-delà de la simple sauvegarde ou du stockage de documents — a toutefois franchi un nouveau pas au Grand-Duché, grâce à la nouvelle loi du 25 juillet 2015 sur l’archivage, intervenue près de huit ans après sa mise en chantier.

Cette loi est venue compléter le règlement eIDAS et, en l’absence d’une réglementation similaire en Europe, a permis au Luxembourg de se positionner en tant que précurseur en la matière.

Elle n’est véritablement entrée en vigueur que cette année, avec la certification des deux premiers prestataires de services de dématérialisation et/ou de conservation (PSDC) que sont Labgroup, depuis le 1er février dernier, et, plus récemment encore, Victor Buck Services, pour le groupe Post, depuis le 12 juillet.

Contrairement aux PSF et PSF de support, qui sont un agrément du ministère de l’Économie, le PSDC — défini par la loi — est un statut qui s’obtient par une certification délivrée par l’Institut luxembourgeois de la normalisation, de l’accréditation, de la sécurité et qualité des produits et services (Ilnas).

Avantages compétitifs

«Ce contexte légal, issu de la volonté de longue date du Luxembourg de devenir le coffre-fort électronique de l’Europe, est particulièrement important», explique Jean Racine, chief business development officer chez Labgroup.

«Alors que, d’habitude, la loi est en retard sur les pratiques, là, nous avons une législation en avance sur ce qui se passe sur le terrain pour de très nombreuses années, et qui tire donc le marché, les changements et l’évolution des états d’esprit», ajoute-t-il. «Par le biais de ce nouvel outil juridique, les entreprises luxembourgeoises disposent d’une formidable opportunité de se différencier, avec des services numériques innovants, tels que ce coffre-fort numérique pour les documents à valeur légale», considère, pour sa part, Roland Bastin, partner information and technology risk chez Deloitte Luxembourg. «Et dans une tendance européenne d’évolution vers une économie numérique, cette nouvelle loi permet d’accentuer l’attractivité de la Place luxembourgeoise auprès des sociétés internationales.» Selon lui, «l’industrie des PSF pourra bénéficier des avantages compétitifs offerts par ce nouveau cadre légal». Et, affirme-t-il,«les PSF de support auront l’occasion d’étendre leurs activités grâce au statut de PSDC, et pourront répondre aux demandes des clients confrontés à la problématique de la transformation digitale, tout en gardant la valeur probante des documents dématérialisés».

Débuts prometteurs

Jean Racine précise toutefois que si le périmètre de la loi offrant cette garantie d’État via les PSDC est pour l’instant réduit aux deux types de documents que sont les actes sous seing privé — autrement dit les contrats — et les documents comptables, des projets de loi sont en cours pour élargir ce périmètre.

«Bientôt, à l’échelle de temps de l’archivage, de nombreux autres documents, notamment administratifs, pourront aussi être dématérialisés, et leur version papier détruite, et un jour qui n’est pas si éloigné, on assistera à un renversement avec la version électronique, qui deviendra l’original, et le papier la copie», ajoute-t-il encore.

Depuis qu’il bénéficie du statut de PSDC, Labgroup indique ne plus savoir où donner de la tête, nombreuses étant les PME et PMI luxembourgeoises et étrangères suffisamment matures pour s’intéresser à ces nouvelles solutions d’archivage. En volume, la plus importante serait une société britannique sans siège ni activité au Luxembourg.

Pour consulter l’article complet, veuiller suivre le lien : http://paperjam.lu/news/un-interet-marque-pour-les-nouveaux-psdc

Copyright @MaisonModerne

Auteur : Frédéric Antzorn

Cybersecurity Breakfast – 29/09/2017 – Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving

Cybersecurity in the realm of digital trust and e-archiving with Jean Racine, CBDO at Labgroup

(left to right – Jean Racine, Labgroup, Johann Alessandroni, PECB Europe, Lionel Antunes, CTIE, Alain Wahl, ILNES)

 

Article Luxemburger Wort – Der Traum des papierlosen Unternehmens

Luxemburg ist das erste europäische Land, das den Weg zu elektronischen Dokumenten mit dem gleichen Beweiswert wie die Papierversion ebnet. Lab Luxembourg ist nun das erste Unternehmen, das ganz offiziell die 100-seitigen technischen Regeln erfüllt, die die Echtheit der digitalen Dokumente garantieren.

Anderthalb Jahre nach dem Gesetz zur elektronischen Archivierung kommt das damals geschaffene Statut des “Prestataire de service de dématérialisation et de conservation” (PSDC) zum ersten Mal zu Einsatz. Neben Lab Luxembourg ist mit Numen Europe in Howald ein zweiter Dienstleister dabei, die Prozedur zur Zertifizierung abzuschließen, bestätigte der beigeordnete Generaldirektor David Gray auf Nachfrage. Die Archivierungsdienstleister dürfen damit Kunden, die Digitalisierung und Speicherung anbieten.

“Nach dem Gesetz von Juli 2015 ist damit ein wichtiger Schritt für die Luxemburger Wirtschaft getan”, betonte Wirtschaftsminister Etienne Schneider. Er spricht von einem weiteren Standortvorteil, weil kein anderes Land ein solch klaren und sicheren rechtlichen Rahmen biete. Für Finanzakteure sei das ein Argument, um sich nach dem Brexit am hiesigen Finanzplatz niederzulassen, meint der Minister.

Ein Stockwerk weniger: Das ist der konkrete Vorteil, den eine große Bank aus der elektronischen Archivierung ziehen könne, so Schneider. Bisher müssen etwa Banken alle ihre Unterlagen während zehn Jahren auf Papier aufbewahren – sprich wahre Papierberge entstehen.

Consultez l’article entier en ligne.

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