Bernard Moreau: Retour sur investissement oui, mais aller en confiance d’abord !

Dans une entrevue pour paperJam Magazine, Bernard Moreau, Labgroup CEO, explique l’importance de la confiance entre les clients et les prestataires de cloud computing.

De plus en plus de prestataires se positionnent pour des offres de services cloud. Quels sont les indicateurs clés (software, hardware, télécoms, data management…) que vous préconisez pour mesurer le retour sur investissement de votre solution ?

Labgroup est un prestataire de services de Cloud Computing à titre “secondaire”, mais c’est paradoxalement un argument majeur pour nos (futurs) clients… En effet, si Labgroup possède et gère son centre de données depuis 1999, c’est d’abord et avant tout pour héberger sa propre infrastructure et offrir ses propres applications en mode ASP (l’ancêtre du SaaS !). Autrement dit, Labgroup, en tant que premier utilisateur de son Cloud, est dans le même… nuage que ses clients. Quand on les interroge sur les raisons de leur choix, ceux-ci mettent cette situation en exergue.

Pourquoi ?

Tout simplement, parce qu’elle établit un pacte de solidarité entre eux et nous : si nos services sont bons, nos utilisateurs et les leurs seront satisfaits. Inversement, un défaut de qualité de service ou de sécurité des données les affecterait tous. La deuxième raison invoquée : le conseil. On ne vend bien que ce que l’on connait bien et on connait mieux ce que l’on utilise pour soi. En détaillant les raisons de la sélection de tel ou tel fournisseur de technologie, de tel moyen de sécurité, de tel niveau de service, de tel indicateur de performance, nous renforçons les convictions du client. Last but not least, la confidentialité s’affiche comme un autre critère important, qui est largement satisfait grâce au statut de PSF de support.

Solidarité, conseil et confidentialité peuvent-ils mesurer le ROI du client ?

Certes non. Mais écarter ces aspects qualitatifs serait ignorer que le client n’investit pas seulement dans un service, mais aussi dans une relation avec son prestataire. Et que si cette relation n’est pas suffisamment confiante, son investissement sera remis en cause. Sur le terrain des petites et moyennes entreprises où Labgroup évolue, il faut d’abord faire ensemble un aller en confiance, avant d’envisager un retour sur investissement !

Lire l’article complet sur paperJam – Février 2013.

Sur le terrain des petites et moyennes entreprises où Labgroup évolue, il faut d’abord faire ensemble un aller en confiance, avant d’envisager un retour sur investissement !

Bernard Moreau, Labgroup CEO.

BNP Paribas Real Estate: Labroup is the ideal partner for document management

BNP Paribas Real Estate Luxembourg chooses Labgroup for all its document management, from storage to destruction.

First office property manager in Luxembourg (425,000 square meters), BNP Paribas Real Estate Luxembourg is a subsidiary of BNP Paribas Estate, the first European real estate manager (30 million square meters). The company offers a broad portfolio of real estate services ranging from consulting to management through the promotion and coordination of construction projects, interior design and renovation.

Document archiving is crucial in the real estate business, especially because the law requires their preservation for at least 10 years. BNP Paribas Real Estate Luxembourg has entrusted this task to Labgroup, who is also in charge of the collection and destruction of legal documents.

The Professional of the Financial Sector (PSF) status of Labgroup reinforces the relationship of trust that has developed over time. A status even more important than the new division Real Estate Management at BNP Paribas Estate, which manages assets for clients around the world from Luxembourg, has grown considerably.

For Labgroup, it is a pleasure and a privilege to be the trusted partner of the worldwide leader in real estate management.

Labgroup: Evolving from “Scan to Store” to “Scan to Use”

Interviewed by paperJam Magazine, Jean Racine, Business Development Director at Labgroup, explains how the scanning needs have evolved from “Scan to Store” to “Scan to Use”.

Traditionally clients were scanning their archives in order to gain space and be more cost efficient, but today they understand the technology provides so much more. By extracting the information through an OCR process, the dematerialization allows data protection, sharing, safe collaboration and fastest management.

For instance the invoices can be digitized and the information (prices, VAT, …) can be integrated directly into the ERP. Fast, safe and reliable information management has never been more easy. Information become a strategic resource for the company instead of a storage cost.

Customers don’t scan in order to store the information anymore; they scan to better use it.

Read the full interview (in French) on paperJam Magazine – January 2013 Edition.